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mercredi 3 mars 2010

Mon sexe centimètre par centimètre

- Un centimètre. Deux centimètres. Douze centimètres... Plus rien... Tu sens, plus rien. Attends, j'arrive... Voila : Un centimètre. Deux. Tu les sens les centimètres ? Voilà, maintenant, c'est cinq centimètres... Et maintenant... Dix huit centimètres...
- Menteur !
- Bon. D'accord. Reprenons. Six centimètres. Dix centimètres. Deux centimètres. Rien. Rien ; pas bouger ; rien ; toujours rien... Et puis... Tout! Pas bouger. Très bon. Chaud, accueillant. Pas bouger. NON ! Pas bouger j'ai dit !
- Je bouge si je veux...
- Non ! Clara, tu n'es pas drôle. Laisse-moi faire.

C'est moi qui dirige. C'est moi le chef. Je veux que tu sentes bien tout ce que je te fais. Je veux que tu apprécies centimètre par centimètre, instant après instant, mot après mot, ce fantastique moment dont j'aimerais que tu partages pleinement l'indicible présent...
- Tu appelles cela de l'indicible ! Tu parles tout le temps !

Clara reprit un ton sérieux. "Je t'en prie, Hugo, je n'ai pas l'habitude. Arrête un peu."
- Tu veux que je m'arrête dedans ou dehors ?

Elle eut un mouvement d'impatience. Un tout petit mouvement, car sa tête était nichée dans le creux de l'épaule de Hugo, lui-même précautionneusement couché sur elle, abuté en elle.
- Oh, et puis, fais ce que tu veux !
- Ne te fâche pas. J'arrête.
Et il arrêta net son mouvement de va et vient.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Ce n'est pas ce que tu me fais que je n'aime pas (j'aimerais plutôt), c'est le reportage qui va avec qui me gêne. Fais ce que tu veux, mais je souhaiterais que tu parles un peu moins, c'est tout, dit Clara d'une voix de petite fille boudeuse. En disant cela, elle avait serré fort ses jambes autour des reins de Hugo, pour que surtout il ne lui vienne pas l'idée de sortir d'elle.
- Prends-moi fort, s'exclama-t-elle, et d'un coup de rein, elle s'emplit de lui en réprimant un soupir d'aise.

Hugo réagit instantanément :
- Non ! Ne bouge pas. Interdit. Attendons que cela passe...
Faussement vexé. Et il resta là, sans bouger, au fond d'elle. Clara attendit un moment, un sourire aux lèvres, demanda enfin :
- Ça passe ?
- Oui, je sens que cela passe. Voix plaintive : ne bouge plus, s'il te plaît, parce qu'autrement cela ne passera pas.

Elle se demandait de quoi il parlait, mais préférait ne rien brusquer. De toutes les façons il ne lui répondrait qu'en temps utile. Quand cela l'agréerait. Elle commençait à connaître le personnage. Et puis, il l'avait déjà fait jouir, très fort. Alors, si ça l'amusait.
- Et cela mettra longtemps à passer ?
- D'habitude, pas trop. Mais avec toi, je ne sais pas.
Je pense que cela peut durer un moment, le temps que ça passe...
- Bon. On attend...

Elle se rejeta en arrière sur le lit, écarta d'un coup les bras et les jambes, dans une position d'abandon. Juste une bougie éclairait la scène, mais cela suffisait amplement pour que Hugo, dressé sur ses avant bras, puisse admirer tout à loisir le corps../..

../../.. La suite, passionnante, ici...

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