Apprenez à vous parfaire jour après jour.
Offrez à votre partenaire le respect.
Apportez la découverte ; osez le renouveau !
En bref, aimez la vie et la sexualité...

mercredi 3 mars 2010

La température

Son studio n'était pas fini ; Composé d'une pièce unique et d'une grande terrasse, il lui manquait encore la cuisine, mais la petite salle de bain était presque équipée.
Cette soirée était fraîche, mais agréable ; ce devait être le début de l'automne.

Elle avait ses règles, ce qui arrive aux femmes 13 fois par an (Comme à son habitude, elle ne m'en avait rien dit mais je m'en étais aperçu en la caressant : J'avais senti la ficelle de son tampon) ce qui fait que je l'avais léché autour de et sur son
petit bouton et l'avait amené ainsi rapidement au plaisir. (Je sais qu'une femme indisposée est plus sensible qu'en tout autre période de son cycle. Ça, je le sais)

J'avais fait cela, elle debout et moi à genoux devant elle - au milieu des travaux, pas facile de s'allonger -.

Elle avait joui les mains crispées dans mes cheveux.
Ensuite, tout doucement, toujours à genoux, j'avais remis de l'ordre dans sa tenue (rabaissé sa jupe et remonté sa petite culotte) puis, me remettant debout, je l'avais entraînée sur la terrasse. Moi derrière, elle s'était accoudée sur le bord de celle-ci.

Elle était encore toute frémissante du plaisir reçu.
Je la serrais très fort, ayant peur qu'elle prenne froid. Nous restâmes ainsi un long moment, immobiles.

Ses fesses ondulaient maintenant doucement. Je n'y pris pas garde dans un premier temps, pensant à un jeu. Mais je commençais à grossir. Par une sorte de réflexe, j'appuyais plus fort mon sexe sur son fessier. Elle répondit à cette caresse sans aucune équivoque...

Non seulement ses fesses se pressaient contre mon sexe, cherchant à l'épouser étroitement, mais de plus elles se balançaient de droite et de gauche de façon lascive. Je ne mis pas longtemps à être dans un état indescriptible. Je me dégrafais prestement et sortis mon sexe tout en relevant sa jupe, abaissai de nouveau sa petite culotte (l'élastique de celle-ci fut mis à mal ce soir-là) et collai mon sexe tout contre ses fesses, au milieu.

Elle continuait à onduler. Toujours collé à elle, je mimais l'amour, reculant et avançant tour à tour, pressant Gustave. Aucun geste de retenue de sa part. Je jetai un coup d'œil alentour. Des maisons étaient bien mitoyennes, mais leurs occupants ne semblaient pas vouloir mettre le nez dehors ; pas de vis-à-vis, ou alors avec une paire de jumelles...

Je me reculais quelque peu et me mit en position, au jugé.
Je l'avais déjà plusieurs fois sodomisée, et je dois avouer, sauf au début où manifestement elle avait peur d'avoir mal, qu'elle avait appris à aimer cette façon de faire l'amour.

Je promenais un petit moment le bout de Gustave sur sa vulve. Elle était trempée. Le lieu, sa jouissance précédente, moi aussi sûrement,
l'excitaient. Je remontais jusqu'à sa petite ouverture... et ne bougeais plus.

Comme dans toute sodomie, il faut attendre que celui qui reçoit soit prêt (ça aussi, je le sais) ; ne surtout rien brusquer. Elle sentit, bien entendu, que j'avais compris ce qu'elle m'offrait, et que c'était à elle maintenant d'agir.

Au fil du temps, nous étions parvenus à une grande communion d'idées en matière sexuelle.

Clara, qui avait un mal fou à retirer sa culotte elle-même dans les premiers temps, avait acquis cette confiance totale et aveugle qui nous permettaient à présent de faire l'amour quand ça nous plaisait, où ça nous plaisait, comme ça nous plaisait...
Elle mit un temps fou à se pénétrer, à se remplir de mon sexe en entier.

Elle prit vraiment son temps, comme un vraie pro ; elle accentua la pression, la relâcha, l'accentua à nouveau, jusqu'à que son anneau cède.
Là, comme elle l'avait appris, elle s'arrêta le temps que son intimité s'habitue et épouse bien Gustave.

Moi, je retenais mon souffle, attentif à ne pas lui faire de mal.
Quand elle commença, imperceptiblement tout d'abord, puis avec plus de force, à s'emplir de mon membre, il m'a fallu faire appel à tout mon contrôle pour ne pas exploser.

Soudain, tout s'écarta : je me trouvai dans son petit logement, bien serré, chaud et accueillant, qu'elle se remplissait à sa guise par un mouvement de va et vient prudent, puis../..

../../.. La suite, passionnante, ici...

Tous les outils pour réussir sa vie amoureuse et sexuelle !

Aucun commentaire: