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mercredi 3 mars 2010

La plume érotique

La plume se promenait, dirigée de main de maître par Hugo, sur et autour de son pubis.
- Si cela ne te dérange pas, tu n'enlèveras ta culotte que lorsqu'elle sera trempée. (C'est malin !
Et je la remettrai trempée, pour repartir ! Hein !) Il répondit à cette question non formulée :
- Et d'un, tu n'es pas obligée de la remettre pour repartir, et de deux, tu n'es pas obligée de partir.

Clara ne dit rien. Le plaisir montait. En effet, quoi de plus doux sur sa peau que l'effleurement de cette plume.
- Elle est très propre, dit-il tout fier, je l'ai lavée avec du Cadum, puis sèche cheveux, puis démêlage au peigne et fer doux". Elle ferma les yeux, s'efforçant de ne pas l'écouter trop. C'était très bon. Très doux. Aérien.

La plume s'insinuait dans les moindres petits recoins, autour et sur son sexe. Dans les plis de son aine, autour de sa culotte (Trempée dans les deux premières minutes, cela va sans dire). Seule la flamme de la bougie projetait quelques lueurs.

Clarté infime permettant d'oublier toute pudeur. Et puis, Clara avait oublié, et depuis longtemps, toute sa pudeur au vestiaire. Elle était bien. Elle se sentait bien. Avec Hugo.
Il la caressait de la plume et du regard. Sans se presser. Cherchant les endroits les plus intimes, les plus réceptifs, les plus... (le corps de Clara ondulait comme une houle).
C'était très bon.

Encore habillé d'une chemise (déboutonnée sur plus de la moitié) et d'un jean, mais sans slip (elle apercevait le foisonnement de sa toison et un bout de son sexe - de son Léon - au travers de la braguette retenu par un seul bouton), Hugo s'était assis sur le bord du lit.

Outre son sexe gonflé à outrance et sa respiration saccadée, son désir était encore plus présent dans son regard. Entrouvrant à peine les paupières, elle croisa celui-ci et l'afflux de moiteur qu'elle sentit sourdre de son vagin fut la réponse immédiate à cette passion entrevue, mais bien réelle, existant au fond des prunelles de Hugo.

Un torrent coulait, semblait-il, d'entre ses cuisses.
(Mais qu'est-ce qu'il attend !) Il répondit à cette invite muette. Abandonnant la pauvre plume aux fanons tout collés-mouillés, qu'il déposa comme une relique sur le bord du lit, il écarta d'un doigt sa culotte et plongea, bouche demi-ouverte d'où pointait une langue déjà dardée.

Clara se cambra d'un coup lorsqu'elle sentit la langue caresser doucement sa vulve. De son autre main, il sortit délicatement les seins de Clara de leur logement (elle avait gardé également son soutien-gorge - quelle idée !) et se mit à les caresser doucement.

N'y tenant plus, elle l'arracha presque, trouvant in extremis (elle l'aurait déchiré sans remords...) le petit crochet qui le retenait. Dans le même mouvement (cambrée elle était), elle fit glisser sa culotte qu'elle jeta dans la chambre, au hasard.

Lors de cette opération, Hugo, calme en apparence, continuait de la caresser (ses mains couraient partout) en la regardant intensément. Il bandait comme un fou. Mais se contrôlait.
À grand peine. Le regard voilé, elle prit à deux mains le visage de Hugo et appliqua avec force ses lèvres sur les siennes. Elle l'embrassa goulûment, à pleine bouche, un long moment, pendant qu'il arrachait sa chemise, puis s'écroula en arrière, anéantie. Cuisses et bras écartés.
Offerte...

Il plongea à nouveau. (Mais qu'est-ce qu'il me prend? Je le connais à peine, le Hugo, et me voilà offerte à lui comme jamais ! Et que je te le prends dans ma bouche, son sexe, extirpé de son pantalon d'où je l'ai fait jaillir comme un diable de sa boîte).

Et voilà que maintenant je te le suce comme si je voulais en extirper toute la sève d'une année d'un seul coup d'un seul. Et Hugo qui me lèche comme d'une glace fondante sous le soleil, qui va chercher partout, et qui l'avale, tout ce qui coule de moi, et ça coule ! Et ça coule !

Je l'aurai, je serre fort, je veux jouir, mais je veux qu'il jouisse aussi, en même temps, je serre encore plus fort, j'aspire, je suce, je lèche, je serre, je...

Clara lâcha tout, d'un coup, et exhala une longue plainte, presque un cri, une sorte de long hululement. Très haut elle était montée, très haut.
Yeux fermés, elle gisait maintenant en travers du lit, comme exsangue.

Hugo ne bougeait plus, bouche collée contre sa vulve. Il attendit ainsi sans broncher que la vague de plaisir qui l'avait submergée se fut retirée, puis se releva doucement, non sans la caresser encore et encore, doucement, sur tout le corps.
Enfin, il la recouvrit d'un drap et la contempla.

Sans mot dire. Seul une étincelle brillait dans ses yeux...
- Salaud ! s'exclama Clara, croisant son regard, et, confuse, elle se retourna sur le ventre.
Quelque temps après, elle prit son sexe à pleines mains :
- Alors, mon petit, qu'est-ce qui t'arrive ? T'es tout petit tout ridicule ! C'est moi, Clara, ta copine.../..

../../.. La suite, passionnante, ici...

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