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mercredi 3 mars 2010

Ta main

J'adore ta main gauche.

Qu'est-ce qu'une main, sinon une suite d'os mise bout à bout ; recouverte d'un peu de chair et de peau ?

Peut-être, mais ce ne sont pas toutes les mains qui se crispent sur l'oreiller comme ta main gauche.

J'adore ta petite main quand elle se crispe sur l'oreiller... Elle l'agrippe, le serre, un peu comme le ferait une main salvatrice au cours d'une chute.

Tu vois, la main qui agrippe la saillie de rocher et qui évite la chute mortelle. Moi, c'est comme ça que je vois ta main quand elle agrippe l'oreiller ; quand je te
fais l'amour.

Ton visage, je ne le vois pas, il est caché par ta lourde chevelure. Ton corps, je l'aperçois à peine, seulement quand je me relève sur les avant-bras quelques instants afin de soulager tes fesses meurtries par mes coups de boutoirs d'hommes empressés à te faire jouir...

Ta main gauche, je l'aime.
J'imagine une vidéo. Plein champ sur cette main.
AMOUR AVEC NATACHA UNE PREMIERE : CLAP. La caméra cadre en plein ta main. Je te fais l'amour.

La main est posée sur l'oreiller comme un papillon.
On sent bien (la caméra rend bien cette perception) que ta main peut voleter ailleurs. Mais non ! Si elle est là, ta main, c'est qu'elle doit rendre compte, du déroulement, de la progression de nos ébats.

Elle a une fonction propre. (Autrement, il n'y aurait pas de caméra.)
Donc, elle est posée tranquille, placide, neutre presque. On va dire durant une petite minute. Non, une minute, c'est trop dans un film, une vingtaine de secondes, ça ira. C'est déjà bien.

Et même, durant cette vingtaine de secondes (ce qui est déjà long en vidéo), la main bougera un petit peu, genre les doigts se referment, mais un petit peu ; on peut tout imaginer ; mais pas nécessairement que je suis derrière toi, à regarder ta main, en train de te pénétrer sauvagement (ça, on le découvrira après, quand le champ s'élargira, quand la caméra s'écartera de ta main et fera découvrir au public ébahi ton corps superbe couvert par mon non moins corps superbe collé cloué-attaché.)

Pour l'instant, ta main gauche (après les vingt secondes) commence à agripper l'oreiller. Je la fixe intensément, c'est mon radar, ma sonde, le témoin de la résultante de nos ébats. Plus tu crispes, plus c'est bon... Spasmodique ment, on le dit comme ça.

Tu serres l'oreiller de façon spasmodique. Je te pénètre bien à fond, tu crispes, je le retire, tu décrispes, et ainsi de suite. Je m'enfouis dans ton tréfonds, tu crispes plus fort, et ainsi de suite...
Pauvre oreiller. Il est malmené. Tu ne l'as pas prévenu.
C'est une composante de notre amour.

Et s'il n'y avait pas d'oreiller, hein ? Et bien, ta main gauche chercherait partout quelque chose sur quoi s'agripper (le rideau, le drap, mes cheveux – ça nous est arrivé et j'ai adoré cela - que sais-je encore) mais peu importe..
Je suis bien en toi, tu sais Clara. J'aime ta main gauche. Attention, tu serres plus fort le tissu !
Tu vas jouir, et m'entraîner là-haut avec toi bien sûr. Tes petites fesses cognent maintenant contre mon ventre, tu n'aspires, je viens, tu viens, ta main malmène l'oreiller comme si tu voulais déchirer l'étoffe...

Ça y est ! Ta main, enfouie comme moi au plus profond comme moi de l'oreiller comme moi au fond de toi ne bouge plus comme moi... Nous attendons que la tornade passe... Haut, encore plus haut, apogée, hyperbole, descente, atterrissage, sensations, plénitude... Sens retrouvés à grand peine...

Au bout d'un long moment, je sors mon sexe de ton sexe, couvert de bonheur. Tu te retournes, ta main gauche abandonne l'oreiller (le pauvre – tout chiffonné -) et se pose sur ma nuque ; tu forces afin d'approcher mes lèvres des tiennes...
Il m'arrive de regarder, quelquefois, ta main gauche vaquer à ses occupations quotidiennes, mine de rien, et je lui fais un clin d'œil... Elle sait elle, elle sait que je sais. Mais cela reste entre nous.

Tes pieds
J'adore tes pieds. Les deux ; sans préférence.
Malgré que cela ne soit pas vrai, j'aime à penser qu'ils sont identiques. J'en mets un contre un miroir, et hop ! l'autre apparaît. Mais non, il est derrière le miroir, l'autre, oh le coquin !
Je les mets tous les deux devant le miroir. Cela fait quatre pieds. C'est trop. Je ne voudrais pas d'une femme avec quatre pieds.

J'aime tes pieds quand ils te rapprochent de moi, quand tu cours vers moi, quand tu les agites sur les pédales de ton auto. J'aime les regarder quand tu m'attends : Tu les positionnes l'un normal, pointé vers l'avant, le talon de l'autre venant se nicher dans le coup de pied du premier, un peu comme font les danseuses.
Tu as dû être danseuse.

Tiens, je n'ai jamais pensé à te le demander. Trop tard.
Tu as les pieds dits égyptiens, c'est à dire que le gros orteil est plus long que les autres. Un soir, je me rappelle, je te les ai massés. Tu as aimé. Tu me disais souvent : “ J'aime tout avec toi ”.
Un autre soir, je t'ai léché les gros orteils, l'un après l'autre. Sucé, devrais-je dire. Une sorte de fellation d'orteils. Tu as compris l'allusion d'ailleurs... Ton regard pétillait.

Ton sexe
Je l'aime, ton sexe. C'est drôle, ../..

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Le cheveu érotique

Soudain, il se mit à genoux devant elle. Assise au plus profond du sofa, elle n'eut pas de mouvement de recul, mais un réflexe amusé plutôt : elle croisa les bras et le regarda bien en face, de la malice dans les yeux ; attentive à ce qui allait se passer...

Tout doucement, il leva ses paumes et les posa sur ses épaules ; il regardait ses mains, n'osant
affronter son regard.

Il ne voulait surtout pas brusquer les choses, vérifiant d'un rapide coup d'œil s'il pouvait accentuer sa caresse, un petit peu ; un tout petit peu...

Manifestement tout allait bien : ses yeux se fermaient à demi. Elle ne semblait pas vouloir cesser le jeu. Du moins, il sentait qu'elle attendait ce qu'il pouvait advenir, mais sans l'appréhender outre mesure.

Il s'enhardit à laisser ses deux pouces, simultanément, remonter le long de sa nuque, en une caresse légère.

Il leva de nouveau les yeux : ses paupières battaient ; sentant qu'il l'observait, elle les ferma complètement. Les pouces continuèrent insensiblement à monter et descendre le long de la nuque gracile. La nuit tombait ; la musique était envoûtante ; ils étaient bien.

Elle sentit que la caresse s'accentuait. La main droite, puis la gauche, avaient pris possession du haut de sa nuque, juste à l'endroit où les cheveux follets prennent naissance.

Après un temps d'arrêt, les cinq doigts, pointés vers le haut comme pour une supplique vers quelque idole, pénétrèrent la profondeur intime des cheveux. Légèrement refermées, ses paumes épousaient la forme du crâne. Ses doigts entrouverts laissaient défiler entre eux les cheveux, creusant des sillons profonds.

Toujours les yeux fermés, mais maintenant les bras le long du corps, elle semblait goûter pleinement l'instant. Peut-être se trompait-il, mais il pensait que le fait de fermer les yeux accentuait ses autres sens, notamment celui du toucher.
D'ailleurs, il ferma les siens aussi.
C'était effectivement magique !

Ses mains se rejoignirent, laissant échapper les dernières mèches, redescendirent le long du visage et enveloppèrent à nouveau doucement sa nuque.
Manifestement, elle ne savait que faire des siennes...
Qu'elle reste comme cela, qu'elle ne bouge surtout pas ! Il ne fallait surtout pas briser le charme, pensait-il.

Il la caressa ainsi de longues minutes.
Chaque centimètre carré de sa chevelure fut effleuré avec la minutie d'un explorateur en terre inconnue, vierge, sauvage. Au bout d'un moment, ses lèvres s'entrouvrirent, comme une invite.
Il y répondit en y appliquant les siennes doucement, très doucement, afin d'en bien épouser les contours.

Puis il se redressa. Elle avait toujours les yeux fermés, et l'on ne percevait son trouble qu'à sa respiration, plus profonde, qui soulevait sa poitrine. Insensiblement, comme indépendamment de sa volonté, ses bras se soulevèrent, décrivent dans l'espace uns sorte d'hyperbole et vinrent* entourer ses épaules.
Elle avait les yeux toujours fermés.

Elle se retrouva ainsi tout contre lui, la tête posée sur son épaule. Il sentait son cœur battre contre le sien. Fort. Il continuait sa caresse, mais plus fermement, de façon plus possessive.
Il avait de plus en plus de mal à se dominer, à maîtriser son désir. Lui caressant../..

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La plume érotique

La plume se promenait, dirigée de main de maître par Hugo, sur et autour de son pubis.
- Si cela ne te dérange pas, tu n'enlèveras ta culotte que lorsqu'elle sera trempée. (C'est malin !
Et je la remettrai trempée, pour repartir ! Hein !) Il répondit à cette question non formulée :
- Et d'un, tu n'es pas obligée de la remettre pour repartir, et de deux, tu n'es pas obligée de partir.

Clara ne dit rien. Le plaisir montait. En effet, quoi de plus doux sur sa peau que l'effleurement de cette plume.
- Elle est très propre, dit-il tout fier, je l'ai lavée avec du Cadum, puis sèche cheveux, puis démêlage au peigne et fer doux". Elle ferma les yeux, s'efforçant de ne pas l'écouter trop. C'était très bon. Très doux. Aérien.

La plume s'insinuait dans les moindres petits recoins, autour et sur son sexe. Dans les plis de son aine, autour de sa culotte (Trempée dans les deux premières minutes, cela va sans dire). Seule la flamme de la bougie projetait quelques lueurs.

Clarté infime permettant d'oublier toute pudeur. Et puis, Clara avait oublié, et depuis longtemps, toute sa pudeur au vestiaire. Elle était bien. Elle se sentait bien. Avec Hugo.
Il la caressait de la plume et du regard. Sans se presser. Cherchant les endroits les plus intimes, les plus réceptifs, les plus... (le corps de Clara ondulait comme une houle).
C'était très bon.

Encore habillé d'une chemise (déboutonnée sur plus de la moitié) et d'un jean, mais sans slip (elle apercevait le foisonnement de sa toison et un bout de son sexe - de son Léon - au travers de la braguette retenu par un seul bouton), Hugo s'était assis sur le bord du lit.

Outre son sexe gonflé à outrance et sa respiration saccadée, son désir était encore plus présent dans son regard. Entrouvrant à peine les paupières, elle croisa celui-ci et l'afflux de moiteur qu'elle sentit sourdre de son vagin fut la réponse immédiate à cette passion entrevue, mais bien réelle, existant au fond des prunelles de Hugo.

Un torrent coulait, semblait-il, d'entre ses cuisses.
(Mais qu'est-ce qu'il attend !) Il répondit à cette invite muette. Abandonnant la pauvre plume aux fanons tout collés-mouillés, qu'il déposa comme une relique sur le bord du lit, il écarta d'un doigt sa culotte et plongea, bouche demi-ouverte d'où pointait une langue déjà dardée.

Clara se cambra d'un coup lorsqu'elle sentit la langue caresser doucement sa vulve. De son autre main, il sortit délicatement les seins de Clara de leur logement (elle avait gardé également son soutien-gorge - quelle idée !) et se mit à les caresser doucement.

N'y tenant plus, elle l'arracha presque, trouvant in extremis (elle l'aurait déchiré sans remords...) le petit crochet qui le retenait. Dans le même mouvement (cambrée elle était), elle fit glisser sa culotte qu'elle jeta dans la chambre, au hasard.

Lors de cette opération, Hugo, calme en apparence, continuait de la caresser (ses mains couraient partout) en la regardant intensément. Il bandait comme un fou. Mais se contrôlait.
À grand peine. Le regard voilé, elle prit à deux mains le visage de Hugo et appliqua avec force ses lèvres sur les siennes. Elle l'embrassa goulûment, à pleine bouche, un long moment, pendant qu'il arrachait sa chemise, puis s'écroula en arrière, anéantie. Cuisses et bras écartés.
Offerte...

Il plongea à nouveau. (Mais qu'est-ce qu'il me prend? Je le connais à peine, le Hugo, et me voilà offerte à lui comme jamais ! Et que je te le prends dans ma bouche, son sexe, extirpé de son pantalon d'où je l'ai fait jaillir comme un diable de sa boîte).

Et voilà que maintenant je te le suce comme si je voulais en extirper toute la sève d'une année d'un seul coup d'un seul. Et Hugo qui me lèche comme d'une glace fondante sous le soleil, qui va chercher partout, et qui l'avale, tout ce qui coule de moi, et ça coule ! Et ça coule !

Je l'aurai, je serre fort, je veux jouir, mais je veux qu'il jouisse aussi, en même temps, je serre encore plus fort, j'aspire, je suce, je lèche, je serre, je...

Clara lâcha tout, d'un coup, et exhala une longue plainte, presque un cri, une sorte de long hululement. Très haut elle était montée, très haut.
Yeux fermés, elle gisait maintenant en travers du lit, comme exsangue.

Hugo ne bougeait plus, bouche collée contre sa vulve. Il attendit ainsi sans broncher que la vague de plaisir qui l'avait submergée se fut retirée, puis se releva doucement, non sans la caresser encore et encore, doucement, sur tout le corps.
Enfin, il la recouvrit d'un drap et la contempla.

Sans mot dire. Seul une étincelle brillait dans ses yeux...
- Salaud ! s'exclama Clara, croisant son regard, et, confuse, elle se retourna sur le ventre.
Quelque temps après, elle prit son sexe à pleines mains :
- Alors, mon petit, qu'est-ce qui t'arrive ? T'es tout petit tout ridicule ! C'est moi, Clara, ta copine.../..

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Massage et périnée

Quid du massage

Vous aimeriez pratiquer des massages sur vos partenaires, mais vous vous posez quelques questions : "Je ne sais pas comment faire. Y a t-il des risques ? Faut-il suivre son instinct et son imagination ? Faut-il prendre des cours ?" Je vais essayer d'y répondre.

Les massages sont répartis dans des gammes différentes suivant les besoins de chacun et les résultats que l'on souhaite obtenir. Un non-initié qui veut simplement se faire et faire plaisir peut se contenter de suivre son inspiration du moment. Il suffit de considérer alors le massage comme une caresse un peu spéciale et un peu plus appuyée qu'un effleurement du corps.

La nuque, les tempes, les voûtes plantaires, les épaules, le dos sont les endroits qui remportent le plus de suffrages. Mais depuis le cuir chevelu jusqu'aux orteils, chaque centimètre de peau appréciera d'être doucement malaxé, tripoté, étreint, peloté du bout des doigts et à pleines mains.

Si vous suivez attentivement les réactions de votre partenaire, vous aurez très naturellement les indications qui vous permettent de doser vos gestes et de trouver les bons rythmes.
"On" dit qu'il faut toujours aller dans le sens de la circulation du sang: c'est à dire en direction du cœur. Il semble pourtant que ce principe ne soit valable que pour certains massages médicaux.

Dans le cas du massage loisir, il est de toutes façons préférable de ne pas insister trop fort pour ne pas froisser les muscles. De ne pas agir directement sur la colonne vertébrale pour ne pas risquer de déplacer une vertèbre. De huiler ou de crémer vos mains pour plus de confort.
Si vous agissez lentement et régulièrement, attendez-vous à ce que votre partenaire se détende au point de s'endormir ; ne vous en offusquez pas, c'est la preuve de votre savoir-faire. Si vous espérez provoquer une excitation sexuelle, variez les rythmes et les pressions.

Là, encore, les réactions du corps vous seront des guides précieux.
Provoquez aussi des surprises qui maintiennent les sens en éveil ; passer d'une épaule à une fesse, d'un pied au visage, laisser ses mains en suspens quelques secondes avant de les reposer.

Utilisez des accessoires ; gants de crin pour la chaleur, des balles de tennis à faire rouler, des plumes, vos ongles, vos cheveux, vos seins, etc...

Un des massages érotiques par excellence est le body body. Il consiste à masser le corps de l'autre avec l'ensemble de son propre corps préalablement huilé.

Ensuite, rien ne vous empêche de consulter les annonces dans la presse et de participer à des stages d'initiation. Ils vous ouvriront d'autres horizons et vous feront découvrir des massages spécifiques tels que le "californien", le "thaïlandais", le "suédois", la "digipuncture", etc...

1) Vous voulez créer une zone érogène ? Caressez n'importe quelle partie du corps de votre partenaire (par exemple la hanche ou le bras), souvent et longtemps. Cette partie va devenir très sensible et votre partenaire en redemandera. Vous en ferez votre esclave…

2) Un gars, très laid, proposait à certaines femmes de les masser. C'était un masseur génial, qui aimait vraiment ça. Réticentes au début, elle se pâmait vite sous ses mains expertes. Il draguait ainsi, et cela ne marchait pas si mal. Faites-en autant !

La pratique du massage

Le massage est LA caresse par excellence. Il se dose et se rythme en fonction de l'état et de celui qui le reçoit et de celui qui le donne. Le corps se masse de la tête aux pieds, dans les moindres recoins.

Chaque centimètre de peau appréciera diversement le massage, mais l'appréciera. La seule et importante précaution concerne les vertèbres qu'il vaut mieux éviter lors des débuts.
Le crâne préfère un massage un peu ferme à la limite du grattage mais sans les ongles, en tous cas, dans un premier temps. Il est pratiqué du bout des doigts.

Placer les dix doigts en éventail autour de la tête, les pouces vers le bas (à la base du crâne et en haut de la nuque). Commencer par déplacer le cuir chevelu sans déplacer vos doigts. Progresser en englobant toujours le crâne de vos dix doigts, les deux petits allant jusqu'aux tempes.
Resserrer et écarter vos doigts en effectuant des petites rotations appuyées. Descendre les petits doigts jusqu'aux sourcils. Faire aller les pouces de derrière les oreilles à la nuque.

Le visage aime aussi se faire masser. Toutes ses arêtes se détendront entre le pouce et l'index replié qui les pinceront sans douleur. Pommettes, sourcils, coins externes des yeux, creux des joues, base de la mâchoire, menton, sous le menton, entre le nez et la bouche, entre la bouche et le menton, le contour des oreilles et les deux muscles qui sont de chaque côté de la gorge, depuis la base de l'oreille jusqu'au départ du buste, dans l'ordre et dans le désordre.

La pratique du massage
De la détente d'un crâne et d'un visage fatigués à un peu de tendresse érotique, il n'y a qu'une langue. La faire entrer en action sans retirer vos mains.
La pointe de la langue se faufile sur la nuque, derrière les oreilles, effleure l'intérieur de l'oreille, pense aux trapèzes et aux clavicules, remonte le long de la gorge, lèche les lèvres, les dents, la langue.

La bouche entre dans la danse à son tour et du bout des lèvres, tète le lobe de l'oreille, embrasse les paupières, le bout du nez, les lèvres. Se pose mollement sur tout le visage jusqu'à la naissance des cheveux.
Les mains, la bouche, la langue vont d'un endroit à l'autre en se relayant et à aucun moment n'abandonnent complètement le contact avec la peau.

C'est maintenant le moment que la lenteur tendre et douce de cette première étape fasse place à quelques surprises. Ceci afin que l'être bienheureux qui "subit" ne s'endorme pas. Intercaler des sources frissonnantes.

Un petit coup de langue par-ci, un ongle qui griffe par-là, un pincement des lèvres. Sur les points les plus sensibles ; le cou sous l'oreille, le creux de la clavicule, la nuque, la bouche.
Descendre le long du corps et franchir le délicat passage des bras si sensibles en leur dessous ; des mains dont le creux et chaque doigt aiment à être léchés amoureusement ; des seins qui se caressent, se massent, se titillent, se lèchent et se mordillent inlassablement; du nombril qui veut être aspiré, pénétré et du ventre pétri, brassé, léché, suçoté. Déjà, tout cela, c'est déjà un bon début, n'est-ce pas ?

1) Vous avez sans doute été massé(e) par un(e) spécialiste à une époque de votre vie et cela vous a semblé véritablement divin. Dites-moi, vous vous êtes endormi(e) ou bien vous vous êtes senti excité(e) comme jamais ? Ou les deux à la fois ? Quel souvenir, n'est-ce pas ?

2) Ne refusez pas de la vie ce cadeau qu'est un massage bien fait. Commencez par un massage des épaules et des bras, puis faites-vous masser, au choix, les pieds ou les mains. Vous allez découvrir ce que détente veut dire. Cela vous calmera pour un temps.
Book : Toujours plus sensuel(le) ? Si je veux !


Le périnée


Si nous connaissons depuis longtemps la nécessité d'entretenir son corps pour le garder jeune le plus longtemps possible, nous nous contentons souvent de muscler et de garder en forme les endroits qui se voient : biceps, cuisses, ventre, seins, etc...

Mais en oubliant parfois les muscles qui se voient moins ou pas du tout et qui pourtant participent énormément à la qualité des relations sexuelles mais aussi à l'ensemble du bien-être quotidien.

Je fais particulièrement allusion au périnée, ce muscle d'environ deux centimètres de long qui se trouve entre le bas du sexe et l'anus chez les hommes comme chez les femmes. Cet espace si petit, qui n'a l'air de rien, soutient, à lui tout seul, tous les muscles et tous les organes qui se situent au niveau du bassin. Il a plusieurs fonctions capitales au niveau médical et érotique.

Au niveau médical : même chez des femmes très jeunes, il peut être un peu distendu et donc empêcher de se retenir de faire pipi à volonté. Les médecins appellent ça "l'incontinence urinaire".

C'est encore plus fréquent chez les femmes jeunes ou moins jeunes qui ont accouché au moins une fois dans leur vie; le passage du bébé à la naissance a provoqué sur le périnée un tel effort que comme n'importe quel autre muscle, il a besoin d'être remis en état.

Un périnée musclé empêche d'uriner involontairement et, mieux, il évite toutes les fuites qui se produisent quand l'on tousse, éternue ou lorsqu'on provoque une secousse à son corps. Un périnée entretenu peut aussi empêcher une descente d'organes que les médecins appellent "prolapsus" et qui est très handicapant. C'est très important, surtout quand on sait qu'avec l'âge, la situation empire et que plus l'on attend, plus c'est difficile à soigner.

Au niveau érotique : pour la vie amoureuse, un périnée musclé a des avantages supplémentaires; il permet à la femme, pendant qu'un homme la pénètre, ../..

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La température

Son studio n'était pas fini ; Composé d'une pièce unique et d'une grande terrasse, il lui manquait encore la cuisine, mais la petite salle de bain était presque équipée.
Cette soirée était fraîche, mais agréable ; ce devait être le début de l'automne.

Elle avait ses règles, ce qui arrive aux femmes 13 fois par an (Comme à son habitude, elle ne m'en avait rien dit mais je m'en étais aperçu en la caressant : J'avais senti la ficelle de son tampon) ce qui fait que je l'avais léché autour de et sur son
petit bouton et l'avait amené ainsi rapidement au plaisir. (Je sais qu'une femme indisposée est plus sensible qu'en tout autre période de son cycle. Ça, je le sais)

J'avais fait cela, elle debout et moi à genoux devant elle - au milieu des travaux, pas facile de s'allonger -.

Elle avait joui les mains crispées dans mes cheveux.
Ensuite, tout doucement, toujours à genoux, j'avais remis de l'ordre dans sa tenue (rabaissé sa jupe et remonté sa petite culotte) puis, me remettant debout, je l'avais entraînée sur la terrasse. Moi derrière, elle s'était accoudée sur le bord de celle-ci.

Elle était encore toute frémissante du plaisir reçu.
Je la serrais très fort, ayant peur qu'elle prenne froid. Nous restâmes ainsi un long moment, immobiles.

Ses fesses ondulaient maintenant doucement. Je n'y pris pas garde dans un premier temps, pensant à un jeu. Mais je commençais à grossir. Par une sorte de réflexe, j'appuyais plus fort mon sexe sur son fessier. Elle répondit à cette caresse sans aucune équivoque...

Non seulement ses fesses se pressaient contre mon sexe, cherchant à l'épouser étroitement, mais de plus elles se balançaient de droite et de gauche de façon lascive. Je ne mis pas longtemps à être dans un état indescriptible. Je me dégrafais prestement et sortis mon sexe tout en relevant sa jupe, abaissai de nouveau sa petite culotte (l'élastique de celle-ci fut mis à mal ce soir-là) et collai mon sexe tout contre ses fesses, au milieu.

Elle continuait à onduler. Toujours collé à elle, je mimais l'amour, reculant et avançant tour à tour, pressant Gustave. Aucun geste de retenue de sa part. Je jetai un coup d'œil alentour. Des maisons étaient bien mitoyennes, mais leurs occupants ne semblaient pas vouloir mettre le nez dehors ; pas de vis-à-vis, ou alors avec une paire de jumelles...

Je me reculais quelque peu et me mit en position, au jugé.
Je l'avais déjà plusieurs fois sodomisée, et je dois avouer, sauf au début où manifestement elle avait peur d'avoir mal, qu'elle avait appris à aimer cette façon de faire l'amour.

Je promenais un petit moment le bout de Gustave sur sa vulve. Elle était trempée. Le lieu, sa jouissance précédente, moi aussi sûrement,
l'excitaient. Je remontais jusqu'à sa petite ouverture... et ne bougeais plus.

Comme dans toute sodomie, il faut attendre que celui qui reçoit soit prêt (ça aussi, je le sais) ; ne surtout rien brusquer. Elle sentit, bien entendu, que j'avais compris ce qu'elle m'offrait, et que c'était à elle maintenant d'agir.

Au fil du temps, nous étions parvenus à une grande communion d'idées en matière sexuelle.

Clara, qui avait un mal fou à retirer sa culotte elle-même dans les premiers temps, avait acquis cette confiance totale et aveugle qui nous permettaient à présent de faire l'amour quand ça nous plaisait, où ça nous plaisait, comme ça nous plaisait...
Elle mit un temps fou à se pénétrer, à se remplir de mon sexe en entier.

Elle prit vraiment son temps, comme un vraie pro ; elle accentua la pression, la relâcha, l'accentua à nouveau, jusqu'à que son anneau cède.
Là, comme elle l'avait appris, elle s'arrêta le temps que son intimité s'habitue et épouse bien Gustave.

Moi, je retenais mon souffle, attentif à ne pas lui faire de mal.
Quand elle commença, imperceptiblement tout d'abord, puis avec plus de force, à s'emplir de mon membre, il m'a fallu faire appel à tout mon contrôle pour ne pas exploser.

Soudain, tout s'écarta : je me trouvai dans son petit logement, bien serré, chaud et accueillant, qu'elle se remplissait à sa guise par un mouvement de va et vient prudent, puis../..

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La sexualité des animaux

Le porc épic n'éjacule pas à chaque fois qu'il fait l'amour !
Messieurs, si vous essayiez de les imiter sans avoir à l'esprit l'obsession de l'éjaculation, vous découvririez des sensations cérébrales peu connues du genre humain.

Les escargots possèdent les deux sexes et se livrent à la bisexualité pendant une dizaine d'heures. Rien ne vous empêche de vous amuser à changer les rôles, qu'un homme se comporte comme une femme , en faisant l'amour à sa compagne avec tout son corps sauf son sexe masculin, et que la femme se comporte en homme jusqu'à la pénétration de l'anus de son mari pourquoi pas ?

Si l'on admet que la conduite sexuelle des mâles, comme c'est la plupart du temps le cas chez les animaux, est dictée par la perpétuation de l'espèce, il est facile de suggérer aux hommes que quand ils ne souhaitent pas faire un enfant, qu'ils apprennent à faire l'amour avec l'ensemble de leur corps et aux femmes de les y aider en jouant au plaisir d'être bien ensemble.

Les serpents, plus égoïstes, pénètrent leur femelle pendant 22 heures. Je dis bien vingt deux ! Il n'est pas du tout certain que les femelles y trouvent le moindre plaisir mais au moins ont-ils la gentillesse de choisir des positions confortables pour qu'elles soient patientes.

Cette pratique m'inspire le plaisir que l'on peut ressentir à laisser un homme pénétrer une femme alors qu'elle reste totalement passive.
Les humains sont des animaux qui pensent, qui rêvent, qui imaginent, qui fantasment, qui recherchent plaisirs et bonheur et pourtant, il ne serait pas stupide que les humains que nous sommes volent quelques idées à nos amis les bêtes et à leurs sœurs, les plantes.

Une leçon de choses inspirée par la nature pour une sexualité plus originale qui n'a rien de contre nature !
Les femmes oursins attirent leurs partenaires par le parfum puis les excitent, les titillent, les papouillent jusqu'à les faire jouir sans qu'il y ait pénétration.

Les femmes humaines disposent elles aussi de parfums de toutes sortes qui inspirent, au choix, la suavité, la fraîcheur, la jeunesse, la nuit, le mystère...
Sans compter toutes les odeurs du corps, dans le creux du cou, derrière l'oreille, entre les seins, sous les bras, en haut du sexe, entre les cuisses, derrières les genoux, autour des chevilles. Parfums et odeurs naturels qui affolent les sens du partenaire pour peu que celui-ci accepte de prendre le temps de "mettre son nez partout" et de humer, de respirer la peau avant pendant ou après des caresses.

Les grenouilles miment l'amour et jouissent ../..

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Un été érotique

Souviens-t'en, c'était l'été. Il faisait très chaud.
Milieu d'après-midi. La fenêtre était grande ouverte sur le jardin. Les branches des arbres battaient doucement l'air chargé de la senteur poivrée de la terre surchauffée. Il y eût un orage ce soir-là.
Formidable.
On l'a regardé ensemble, à cette fenêtre, éclaboussés. Sans rien dire. Longtemps...
Mais revenons à cet après-midi.
Je t'ai bandé les yeux, puis les miens. Tu as confiance. Je te parle doucement : "Je veux te découvrir tout entière, par le toucher d'abord.
Après, je verrai. Je t'aime". Doucement je te guide afin que tu sois à genoux sur le lit, face à moi. Je fais de même. Au jugé, nous sommes à quelques 20 centimètres l'un de l'autre. Immobiles.

Tu te souviens ?
Je te parle encore plus doucement :
-Tu sens la chaleur ?
- Oui.
- Il fait très bon.
- Oui, il fait très bon.
- Dis-moi quelque chose.
- J'attends la suite!

Je sens son souffle sur ma joue quand elle parle. Je la sens très proche de mon cœur. Je sens son odeur de fleurs fraîchement coupées. Je la sens fort.
- Voilà. Nous avons une minute chacun. Tu me caresses, je te caresse, tu me caresses et ainsi de suite. Une minute chacun. Nous avons le droit de parler, bien sûr.
J'entends un petit rire qui rafraîchit l'atmosphère étouffante.
- Qui commence ?
- Vas-y ! dit-elle.

Tu mets tes mains sur mes épaules, comme pour me cadrer, descends le long de mon torse. Puis je les sens sur mes hanches, se rejoignent sur mon sexe qu'elles agrippent (je suis déjà gros depuis longtemps).
- Tu triches.
- Je te caresse où je veux, non ?
- Oui, mais tu brûles les étapes, me semble-t-il.
- Il aime ça, lui.
- Alors on est deux. Et toi, tu aimes?
- J'adore. Il est gros.
Elle me presse le membre, remonte, redescend le long de la hampe.
- Arrête, s'il te plaît ! - J'ai droit à une minute. Il s'est écoulé à peine 30 secondes.- Attends, tu vas voir, tu ne perds rien pour attendre.
Elle lâche mon sexe, se penche et lui fait un petit bisou. Un autre, entrouvre la bouche, lèche rapidement mon gland puis se redresse.
- Voilà. À toi. (Je suis dans un état !)
Ça te revient ?

Je commence moi aussi par tes épaules. Je m'y attarde. Tu les as rondes, douces, fermes. Descend le long de tes bras, te caresse doucement les phalanges, masse tes paumes.
Je passe ensuite aux hanches, m'attardent un peu sur ta taille que je presse, puis t'agrippe les fesses, écartant les doigts au maximum (tu as de petites fesses, mais j'ai des mains malgré tout trop petites également pour les englober tout entières - à deux mains pour une fesse peut-être - ) je les pétris.
Tu halètes un petit peu.
- Tu m'as mis dans un état déplorable. Je vais essayer de te rendre la pareille. Méchante.
– Essaie !
- J'essaie.
Mais je sens qu'elle perd pied, elle aussi. Elle a toujours très apprécié les caresses sur ses fesses. (Je le sais, j'en profite.)
- Ça doit bien faire une minute, non ? - Encore un petit peu. - Non. Ça fait au moins une minute.
- D'accord, je retire mes mains.

Trichant, je te plaque une main sur le milieu de tes fesses, fermement, et applique l'autre sur ton
pubis, tous mes doigts appliqués sur ton intimité.* Tu es trempée.
- À toi maintenant.
J'en profite (tu as les yeux bandés) pour lécher mes doigts. Tu sens la petite femme amoureuse excitée qui a envie de moi.
- Je te fais ce que je veux ?
- D'accord. (Tu fis encore entendre ton petit rire.) Tu y es, toi ? Parce que moi j'y suis.
Je sens que tu bouges. Tu n'es plus à genoux devant moi en tous cas. Le froissement des draps me renseigne, tu es allongée maintenant, mais où ?
Puis, je n'entends plus rien.

Soudain, je comprends car une sensation exquise m'enveloppe. Tu es, sûrement (!) allongée sur le dos entre mes cuisses ouvertes, tu m'as pris un testicule (je ne sais pas lequel, je suis dans un état !) dans ta bouche grande ouverte, le ressors, le lèches, le reprends. Je sens ta langue qui tourne autour.
Tu arrêtes ; j'attends. Puis tu prends, lèches, avales l'autre. C'est bon.
- C'est bon. Tu ne réponds pas. Tu es occupée. Je répète : - C'est très bon. Tu t'interromps un instant.
- Ça fait une bonne minute, non ? - Pas tout à fait.
- Ah bon. J'avais cru. - Bon, d'accord, je triche. Ça fait bien une minute. (Mais quelle minute ! Pensais je.)
Comme elle se redresse, je sens encore sa salive sur mes bourses. Délicieuse sensation de fraîcheur.
- Je te viole tout de suite ?
- C'est pas de jeu. Tu as une minute, pas plus. À toi.

Je reprends ma caresse où je l'avais laissé : une main sur la base de ses fesses, doigts enfoncés dans ton entrejambe, touchant ainsi le bout des doigts de l'autre main appliquée celle-ci sur ton pubis. (Dans cette position, je pourrais te soulever sans peine.)
Je bouge à peine mes doigts. Tu es encore plus trempée qu'il y a - un peu plus - d'une minute. À deux mains, je te prends toute ton intimité d'un coup. Il me reste ma bouche.
J'applique mes lèvres sur ton aréole gauche. Je ne cesse de bouger mes doigts. Je sors ma langue et lèche doucement la petite protubérance qui se dresse sous ma langue. J'accentue ma caresse, te lèche tout autour encore et encore, sans oublier un petit coup de langue de temps sur ton bouton.

Je passe à l'autre sein et lui fais de même. Je me redresse un peu, veux t'embrasser à pleine bouche, la loupe, atteint le menton, descend sur ton cou, lèche, remonte vers le lobe de ton oreille, le prend entre mes lèvres, le suce, le lèche, redescend vers ta poitrine, lèche à gauche, à droite, n'importe où, n'importe comment (il a dû s'écouler une bonne minute).

Tu gémis maintenant ? Je t'entends distinctement. J'accentue encore ma caresse sur ton entre jambe. Je sens tes mains chercher mon sexe, s'en emparer, l'agripper, le porter à ta bouche, l'aspirer, l'avaler... (Tu triches, là!) On s'écroule sur le lit, tête bêche ; je vais exploser, tu commences à jouir par à-coups, par des soupirs de plus en plus distincts.
Je ne sais plus où mettre mes mains, ma bouche, quoi faire... (On triche tous les deux !) Je m'extirpe d'entre tes cuisses, ça me coule partout, je lèche mes lèvres, mon bandeau est tout de guingois, tu as retiré le tien, tant mieux : Je veux te regarder jouir ; Je veux être mes yeux dans tes yeux ; je veux ../..

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Fatiguée, donc orange, donc fesses d'amour

Un soir...
- Je suis fatiguée, déclara-t-elle avec emphase, c0omme si, de ces trois mots, elle résumait sa vie.
- Fatiguée ?
- Oui, fatiguée. Je me réveille crevée en ce moment, je me traîne toute la journée, j'ai trop bossé ces derniers temps.
- Jus d'orange, dit-il.
- Qu'est-ce que tu dis ?

Ironique. - Je te dis : jus d'orange. Prends du jus d'orange. C'est le début du processus de reconquête de ta patate légendaire.
- Je ne te comprends pas. Oh, et puis, tu m'énerves!
- Ne te fâche pas, tu es encore plus belle quand tu es fâchée, tes yeux lancent des éclairs et ça m'excite. Et quand tu m'excites...
- Arrête, ce n'est pas drôle. Tu ne cherches pas à me comprendre, tu plaisantes sur tout, tu m'énerves !
- Écoute-moi au lieu de crier ! Rien que de penser que tu vas presser tes moitiés d'orange, ça me rend tout chose, c'est tout. (Puis il reprit un ton sérieux)
- On va dire que tu prends deux oranges, cela fait donc quatre moitiés. Tu les empoignes dans tes petites mains après les avoir coupées d'un coup sec, vlan ! Et puis, sans aucune compassion pour la pauvre moitié d'orange dont tu vas massacrer la pulpe pour en sortir le jus en la pressant fermement sur l'appareil de torture que tu tiens dans l'autre main...
- Arrête de dire des bêtises, ce n'est pas marrant...
- La pauvre orange, elle te regarde de ses petits yeux implorant, elle te dit : "Je ne peux pas t'empêcher de me presser, mais je t'en prie, finis moi vite, ne me fais pas trop souffrir". Mais toi, tout occupée à récupérer la "patate" qui a fait ton succès à travers le monde, tu presses, tu presses...
- Stop, tu es horrible !

- Et les autres moitiés d'orange qui te supplient : "Méchante, on le sait que nous contribuons à te rendre la forme grâce à notre jus divin, mais, de grâce, n'appuie pas si fort, c'est trop horrible".
- Elles ont raison, c'est trop horrible ! Arrête, je t'en supplie moi aussi.
- Alors, tu me promets que quand tu presseras tes oranges, tu feras une petite prière pour le salut de l'âme de ces petits agrumes désespérés.
- Ok, ok, je promets, mais...
- Ahahah ! Cria Hugo
- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
- Tu as bougé !
- Oui, et puis ?
- J'ai vu !
- Qu'est-ce que tu as vu ?
- Tes fesses, j'ai vu tes fesses. Un peu de la droite, mais surtout la gauche, toute la gauche. C'est ma préférée. Pourquoi as-tu fait ça ?
- Qu'ai-je fait ?
- Tu m'as déstabilisé. C'est très grave ce que tu as fait là. Voici les faits, Monsieur le Président du Tribunal : “ J'étais tranquillement en train d'expliquer à ma maîtresse préférée qu'il lui fallait respecter les agrumes (quels qu'ils soient : orange, citron, pamplemousse) lorsqu'elle les presse rageusement afin de sortir, grâce à leur intervention bénéfique sur son petit corps de rêve, de la mauvaise passe qui la mine, quand, sans coup férir, sans me prévenir, elle a bougé, et en bougeant, Monsieur le Président du Tribunal, elle m'a montré, j'ose à peine le dire, mais il le faut, j'ai juré de dire toute la vérité, je vais donc tout vous dire, elle m'a montré, donc, Monsieur le président, ses fesses, oui, vous avez bien entendu, SES FESSES, et surtout la gauche, ma préférée, Monsieur le Président, la gauche. Si je peux me permettre, c'est dégueulasse de sa part de m'avoir montré... ”

- Tu sais ce qu'il te demande, ton Président, hein ? Il te demande : “ Et alors? ”
- Et alors, Monsieur le Président, je bande. Voilà. Bien sûr, vous ne pouvez pas comprendre, j'aurais dû vous apporter une photo, ou mieux Clara en chair (ah ! en chair) et en os. Parce que si vous voyiez Clara, vous comprendriez mieux ! Ah lala, Clara, ce n'est rien, vous la voyez passer dans la rue, bon, elle est mignonne. Bon. Mais bon. Vous verriez ses fesses, sauf votre respect, Monsieur le Président, et bien, vous vous seriez devant ses fesses, là maintenant tout de suite, vous comprendriez mieux les affres dans lesquels que je me noie à cette vue. La vue de ses fesses, s'entend !

- Je peux voir ?
- Voir quoi ?
- Voir si tu bandes !../..

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Mon sexe centimètre par centimètre

- Un centimètre. Deux centimètres. Douze centimètres... Plus rien... Tu sens, plus rien. Attends, j'arrive... Voila : Un centimètre. Deux. Tu les sens les centimètres ? Voilà, maintenant, c'est cinq centimètres... Et maintenant... Dix huit centimètres...
- Menteur !
- Bon. D'accord. Reprenons. Six centimètres. Dix centimètres. Deux centimètres. Rien. Rien ; pas bouger ; rien ; toujours rien... Et puis... Tout! Pas bouger. Très bon. Chaud, accueillant. Pas bouger. NON ! Pas bouger j'ai dit !
- Je bouge si je veux...
- Non ! Clara, tu n'es pas drôle. Laisse-moi faire.

C'est moi qui dirige. C'est moi le chef. Je veux que tu sentes bien tout ce que je te fais. Je veux que tu apprécies centimètre par centimètre, instant après instant, mot après mot, ce fantastique moment dont j'aimerais que tu partages pleinement l'indicible présent...
- Tu appelles cela de l'indicible ! Tu parles tout le temps !

Clara reprit un ton sérieux. "Je t'en prie, Hugo, je n'ai pas l'habitude. Arrête un peu."
- Tu veux que je m'arrête dedans ou dehors ?

Elle eut un mouvement d'impatience. Un tout petit mouvement, car sa tête était nichée dans le creux de l'épaule de Hugo, lui-même précautionneusement couché sur elle, abuté en elle.
- Oh, et puis, fais ce que tu veux !
- Ne te fâche pas. J'arrête.
Et il arrêta net son mouvement de va et vient.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Ce n'est pas ce que tu me fais que je n'aime pas (j'aimerais plutôt), c'est le reportage qui va avec qui me gêne. Fais ce que tu veux, mais je souhaiterais que tu parles un peu moins, c'est tout, dit Clara d'une voix de petite fille boudeuse. En disant cela, elle avait serré fort ses jambes autour des reins de Hugo, pour que surtout il ne lui vienne pas l'idée de sortir d'elle.
- Prends-moi fort, s'exclama-t-elle, et d'un coup de rein, elle s'emplit de lui en réprimant un soupir d'aise.

Hugo réagit instantanément :
- Non ! Ne bouge pas. Interdit. Attendons que cela passe...
Faussement vexé. Et il resta là, sans bouger, au fond d'elle. Clara attendit un moment, un sourire aux lèvres, demanda enfin :
- Ça passe ?
- Oui, je sens que cela passe. Voix plaintive : ne bouge plus, s'il te plaît, parce qu'autrement cela ne passera pas.

Elle se demandait de quoi il parlait, mais préférait ne rien brusquer. De toutes les façons il ne lui répondrait qu'en temps utile. Quand cela l'agréerait. Elle commençait à connaître le personnage. Et puis, il l'avait déjà fait jouir, très fort. Alors, si ça l'amusait.
- Et cela mettra longtemps à passer ?
- D'habitude, pas trop. Mais avec toi, je ne sais pas.
Je pense que cela peut durer un moment, le temps que ça passe...
- Bon. On attend...

Elle se rejeta en arrière sur le lit, écarta d'un coup les bras et les jambes, dans une position d'abandon. Juste une bougie éclairait la scène, mais cela suffisait amplement pour que Hugo, dressé sur ses avant bras, puisse admirer tout à loisir le corps../..

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vendredi 29 janvier 2010

Chloé : L'amour en vrac...

Ce que je capte, tout au début de la rencontre, c'est son regard : il doit être direct et franc, surtout pas fuyant. Ensuite, l'allure générale, le style, la manière de se tenir, de se mouvoir.

Je suis sensible aussi aux mains, je les aime calmes et sereines, fortes et bien dessinées. La bouche, je la préfère souriante et plutôt gourmande.

Enfin, dès la première minute de conversation, je sais si je lui plais ou non. Un petit quelque chose chez lui m'avertit, et je ne me suis jamais trompée.

Et si, en quelques secondes, j'ai fait le tour de l'homme que je rencontre pour la première fois, tout reste à faire… Tranquillement, je m'attache à savoir si, enfin, c'est LUI.

Il m'a invité chez lui. J'ai accepté. Pas tout de suite, j'ai attendu de le mieux connaître. Pas la vraie confiance encore, plutôt le goût de l'aventure. La curiosité.

Un logement, pour moi, est révélateur : la bibliothèque, la cuisine, la chambre aussi,
reflètent beaucoup de la personnalité du maître des lieux.
Chez lui, c'est propre. Une légère odeur d'eau de Javel subsiste. Je le soupçonne d'avoir tout nettoyé il y a peu.

Intervient la vraie question : suis-je venue pour faire l'amour, tout simplement ? Faut-il le faire languir ? Lui sauter dessus ? Boire un peu avant ?
Il a l'air aussi gêné que moi. C'est bon signe. Allez, s'il insiste comme il faut, je me laisserai faire.
Mais, "comme il faut", c'est quoi au juste ?

C'est décidé, je lui offre mon corps. Tant pis si je fais une connerie ! J'espère qu'il en voudra !
Il me rassure en m'enlaçant sur le canapé. Il me prend la bouche. Il a les lèvres chaudes, gourmandes, précises… Il ne veut pas, quand même, me prendre sauvagement ici, là, tout de suite… Non, il se lève, m'entraîne dans sa chambre.
Les draps sont frais, bien tirés. Coquin va, il a tout préparé…

Ce que j'aime chez lui, c'est qu'il n'a pas l'air pressé. Il m'invite, tout doucement, à m'allonger, mais de dos par rapport à lui (?).
Il s'installe tranquillement derrière moi jusqu'à épouser tout mon corps. Et là, je sens un souffle dans mes cheveux : "On est bien, non?" Que voulez vous que je lui réponde ?

C'est vrai que l'on est bien, dans la position dite de la " petite cuillère ".
Je suis tout habillée mais je sens que ce n'est plus pour très longtemps. Sa main gauche m'enserre négligemment un sein et ne bouge plus, comme attendant un ordre. (S'il compte sur moi, il rêve !).

Son autre main se pose bien à plat entre mon nombril et mon pubis. Bientôt, l'index et le majeur appuient sur ce dernier, par à-coups furtifs mais bien réels.
Le volcan situé juste en dessous entre en éruption, d'un coup. Gênée je suis, car mon bassin accompagne sa caresse…

A son souffle court, sûre qu'il ressent une intense émotion à me tenir comme ça collée tout contre lui (Je le comprends, c'est normal).
Je me cambre un peu pour confirmation. C'est confirmé !

Mon adorable fessier est bloqué par une sorte de piton dur, mais dur !
Certaine que même en bandant (pardon) tous mes adorables petits muscles, je ne pourrai pas le déloger de là. Telle n'est pas mon intention, d'ailleurs.

Mais j'y songe, à me cambrer ainsi… Il peut s'autoriser à penser que je veux passer à la casserole là, tout de suite ? Passer à la casserole, quelle vilaine expression ! Remarquez, la casserole, si on ne veut pas se brûler, il faut bien la tenir par un bout ! Je vais m'y employer…

Je glisse donc ma main entre nos deux corps et me faufile entre son ventre (qu'il rentre, le coquin) et son pantalon. Je le sens bien, il est gros.
Je l'empoigne à pleine main et le serre. Je retire ma main, enlève le bouton avec deux doigts puis descends dans le même mouvement la fermeture éclair (je suis douée!).

Il est libre à présent, son sexe. Je sens qui palpite au creux de ma paume. Son souffle s'accélère...
Je sens ma jupe se relever, mon slip s'écarter tout seul (je ne sens pas sa main, lui aussi est habile).

C'est le moment. Sûre. Devant mes yeux, sa main droite agite un emballage vide. Bien, il est protégé. Je me cambre et attend. Pas longtemps...

Sont-ce les hommes qui nous envahissent où bien nous les femmes qui les engloutissons ?
Les deux à la fois, sûrement. Cela dépend du côté où l'on se place. Ce que je sens, en tous les cas, eh bien, c'est très chaud, cela m'envahit doucement, mais inexorablement (où va-t-il s'arrêter ?).
Sa main droite est toujours sur mon pubis et le presse doucement au gré de ses va-et-vient. C'est bon, c'est doux.

Tiens, si je lui prenais une fesse ? Bonne idée. Je la lui empoigne donc et la malaxe. Elle se rétracte et se détend en rythme. C'est une bonne grosse fesse charnue, ça !

Tiens, de la musique ! Il a une télécommande, sûre. Une douce mélopée envahit la chambre.
Bonne musique mais trop lente (Pourquoi pas du Grégorien ou du Satie ?). J'espère que plus tard il mettra un ha-ha. J'adore faire l'amour au son du cha-cha... Chachacha, chachacha !
Eh bien, voilà-i pas qu'il se retire, là maintenant !

Il est toujours derrière moi. Il descend. Il descend encore. Je sens maintenant ses mains sur mes fesses...
Mais qu'est-ce qu'il fait ? Il les lèche !
Alternativement l'une et l'autre. C'est délicieux !
Vraiment ! C'est un gourmand ce type. Un gourmet plutôt.
Je ne sais pas comment il se débrouille, mais il se retrouve dessous maintenant. Euh lala, que c'est chaud !

J'ai l'impression qu'il m'embrasse, qu'il m'engloutit, qu'il m'avale... Tout !
J'ai la tête enfouie dans l'oreiller afin de cacher mes râles. Dire que ma mère me traite de râleuse.
Oh oui, là, je râle ! Qu'est-ce que je râle !
Il faut absolument que je lui rende la pareille.

Si j'arrive à lui attraper un mollet ou pied... Il va voir...

C'est fait. Je me suis contorsionnée comme j'ai pu; ainsi j'ai pu m'agripper au creux de sa cuisse. Je tire. Qu'il se débrouille de l'autre côté, ce n'est plus mon problème. D'ailleurs, je lui fais confiance.
Et le voilà : tout fier, tout dressé, adorable ! Je me penche et l'attrape dans ma bouche par le milieu, comme un chien d'un os.

Je le mordille délicatement, descend un peu et lui attrape une bourse. Délicatement, ../..

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L'amour la 1ère fois

Vous ne l’avez sans doute pas remarqué, mais la femme, dans l’immense majorité des cas, fait l’amour comme si c’était la dernière fois, tandis que pour l’homme, nous avons l’impression, nous les femmes, c’est toujours la première fois (et la première fois, pour l’homme, hein !).
Allez, les gars, ne faites pas la tête, nous plaisantons !

Malheureusement non, nous ne plaisantons qu’à peine…
Bien entendu, si vous n’admettez pas que la femme est plus cérébrale que l’homme, vous ne pouvez pas comprendre.

Mais réfléchissez un petit peu à cet adage (qui vaut ce qu’il vaut mais qui me plaît) : “ l’homme prend une femme, mais la femme se donne ”.

C’est à dire qu’elle réfléchit, la femme, avant de se donner pour la première fois à… un inconnu.
Elle y pense, elle imagine, elle suppute (est-ce qu’il en a une grosse ? Va-t-il me la mettre bien profond ? Non, là je déconne).

Non, elle pense plutôt aux caresses, à son corps, à ce qu’elle va lui permettre, ou non, à ce qu’il faut faire, ou non.
C’est la première fois avec lui. Il vous faut la comprendre…

Donc, en résumé, la femme fait déjà l’amour (en esprit) avec cet homme bien avant les préliminaires (qu’elle espère), et bien avant la pénétration (qu’elle redoute quelquefois).
Ben oui ! S’il n’y a pas eu de préliminaires!), tandis que l’homme...

L’homme (enfin nous espérons nous tromper), n’a de cesse que de s’assouvir, et c’est dommage.

S’il pensait ne serait-ce qu’un chouïa au plaisir qu’elle va lui rétrocéder s’il s’occupe comme il faut de son corps à elle (Un peu comme il voudrait qu’elle s’en occupe, de son corps à lui).

En fait, il passe à côté d’incommensurables plaisirs.
Car la femme ../..

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Le sexe comme si vous étiez !

Voici quelques questions, de celles que l'on se pose, tous autant que nous
sommes... Du moins, que nous devrions toutes et tous nous poser.

Ô Homme :
1 - Penses-tu être un bon amant ?
2 - Oui ?
- Autre question : Est-ce que tu te satisfais de peu ?
3 – Non ?
- Alors, penses-tu que ta partenaire, elle, est satisfaite ?
4 – Tu penses que oui ?
- Peut-elle témoigner que tu es un bon amant ?
5 - Non ? Ah bon.
- Mais l'as-tu demandé au moins une fois à une femme ?
6 - Non ?
- Aurais-tu peur de la réponse ?
7 - Non ?
- Donc, tu acceptes la vérité si l'on t'avoue que ... bof ?
8 - Oui ?
- Tu peux donc penser qu'un autre ferait mieux à ta place ?
9 - Non ?
- C'est donc que tu es le meilleur, n'est-ce pas !?

Question subsidiaire :
10 - Toi et la Femme, en général, ça va ?


Ô Femme :
1 - Est-ce que tu sais reconnaître un bon amant?
2 - Oui ?
- Sais-tu le contenter sans contrepartie ?
3 - Oui ?
- Lui, te fait-il parfois l'amour sans prendre de plaisir?
4 - Oui ?
- Il s'est endormi avant ? Mais cela lui arrive-t-il souvent ? Pas de s'endormir avant ! De ne pas
prendre de plaisir ?
5 - Non ? Ah bon.
- Et s'il est nul, lui avoues-tu ?
6 - Non ?
- Tu préfères laisser cela à une autre ?
7 - Oui ? Ah bon.
- Certaines pratiques amoureuses te choquent-elles ?
8 - ../..

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Ma première nuit sexuelle

Lui - Dis-moi ?
Elle - Mmm !!!
Lui - Je peux te poser une question ?
Elle - Tout ce que tu veux...
Lui - Pourquoi moi ?
Elle - Parce que toi.
Lui - Ce n'est pas une réponse…
Elle - C'est la mienne
Lui - Tu ne veux pas me répondre, c'est ça ?
Elle - Mais bien sûr que je désire te répondre, mais, au
moins, pose-moi une vraie question?
Lui - Je pensais être clair. Pourquoi m'as-tu offert ton corps ? Pourquoi à moi et pas à un autre !
Elle - Ah ! Voilà une vraie question ! Parce que j'ai jugé, peut-être à tort, que tu peux correspondre à l'idée que je me fais d'un bon amant…
Lui - Pourquoi " peut-être à tort " ?
Elle - Parce que pour le moment, je ne suis pas impressionnée. Intéressée, mais pas interloquée ; satisfaite, pas encore subjuguée ; heureuse, mais pas tout à fait épanouie; calmée, non repue…
Lui - Oh ! J'arrive dans ta vie ! Tu en demandes trop ! Subjuguée, repue, épanouie ! Je ne t'en demande pas tant, moi…
Elle - Tu as tort. Il faut être exigeant, surtout au début.
Lui - Non. Nous sommes dans une phase de découverte… J'ai fait de mon mieux…
Elle - " De mon mieux " !!! Ce n'est pas un examen !
Lui - Cela m'en a tout l'air, vu ta réponse.
Elle - Vu la question… Au fait, à mon tour de t'en poser une : Pourquoi cherches-tu à te rassurer ?
Lui - Mais... Mais pourquoi ça ? Je ne cherche absolument pas à…
Elle - C'est bien ce que je pensais…
Lui - Qu'est-ce que tu insinues à la fin ?
Elle - Je n'insinue rien, j'assène : tu me demandes sans avoir l'air d'y toucher si tu es un bon amant…
Lui - Mais c'est naturel, normal, humain !
Elle - Pour un homme, oui.
Lui - Pas pour les femmes peut-être ?
Elle - Oh que si ! Et tu touches là un point crucial dans nos relations, mon cher. Un homme se doit d'être un bon amant, une femme d'apprécier ce bon amant… C'est tout ce qu'on lui demande… Mais une femme, en fait, et heureusement, n'a pas besoin d'être rassurée ! La satisfaction béate de l'homme comblé la rassure pleinement…
Lui - Ne confonds pas tout, je t'ai juste demandé ce qui t'avait incité à m'offrir ton petit corps de rêve!
Elle - Mais toi ! Tout simplement toi ! J'ai eu envie de toi, c'est tout. De tes bras, de tes mains, de ta bouche, de ton sexe aussi… J'ai eu soudain envie de te donner du plaisir, d'en prendre avec toi. C'est aussi simple que cela.
Lui - Je suis un peu désarçonné par ce que tu me dis.
Elle - Mais pourquoi une femme n'aurait pas le désir de " posséder " un homme, d'en profiter, de s'en repaître? Cela te gêne ?
Lui - A la réflexion, non. C'est déroutant, inhabituel, mais la démarche est intéressante. En fait, tu as eu envie d'un vrai mâle dans ton lit. Une bête de sexe ! Tu t'es choisi un étalon !
Elle - Oh ! Doucement ! Pas subjuguée j'ai dit. C'est le tout début entre nous, comme tu le disais si justement. On va dire que tu as le potentiel, mais que tout reste à prouver, ça te va ?
Lui - Pas de compliments, c'est ça ! Ah les femmes et leur égalité ! Impossible de leur faire reconnaître leur côté sensible. Vous cherchez à nous laminer l'ego, c'est tout…
Elle - Et vous, vous n'êtes pas ../..

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Le CV Sexe

Le Curriculum Vitae Sexe de Claire

Mick - Que fais-tu ?
Claire - Je refais mon CV. Je te lis le début : Madame, Monsieur, Convaincue que toute entreprise moderne se doit d'être secondée par des collaborateurs talentueux, responsables, efficaces et motivés, c'est à ce titre que je souhaite apporter ma contribution à votre développement….
Mick - Banal.
Claire - Attends la suite : Certaine que mon parcours, mon cursus, ma formation, mon sens de l'organisation, ma formation continue, mes capacités…
Mick - Du déjà vu.
Claire - Je continue : …apporteront sans nul doute une plus value certaine à votre société et je m'autorise à penser que je pourrai satisfaire vos plus légitimes exigences. Mes atouts…
Mick - Fade.
Claire - Bon, j'ai compris, j'attaque : Vous êtes débordé. Vous recherchez désespérément une collaboratrice d'enfer...
Mick - C'est mieux !
Claire - ...vous la souhaitez fine, délicate et surtout intelligente (90-64-92), efficace et motivée, capable d'alléger quelque peu vos robustes épaules d'une partie de vos immenses responsabilités.
Mick - Oui ! Mettre les mensurations, c'est très bien !
Claire - Je suis certaine que mon sens de l'organisation, mes capacités d'adaptation, mon enthousiasme pourront satisfaire vos plus légitimes exigences (90 bonnet B-64-92 pour 1,68m. Blonde).
Mick - Super !../..

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Des adresses de filles qui couchent

Mais, mon cher, rien de plus facile !

Regardez dans l'annuaire de votre région : notez toutes les demoiselles et mesdames et téléphonez !
Sortez (supermarché, cinéma, etc.) et regardez autour de vous... Il y en a plein...
Mais soyons gentil et sérieux... Quoique !

Vous cherchez des filles qui recherchent des gars comme vous ? Ah bon ! On aurait mal compris alors...
Bon, on a demandé à nos correspondantes et copines si elles voulaient bien avec vous.
Elles ont répondu OUI, ou plutôt POURQUOI PAS.

Mais elles ont aussi demandé :
- Qu'est-ce qu'il amène dans sa besace ?
- Qui est-il ?
- Veut-il simplement un petit coup comme ça vite fait?
- Avec une fille qui ne l'a jamais vu, et inversement?
- Une fille facile en fait ?
- Tu lui diras que s'il a en poche 40 ou 50 euros, on sait pas les prix, il trouvera bien une fille pour ça dans son coin...

Blague à part
Des filles, il y en a autant que les hommes et il vous suffit de les trouver, celles qui veulent bien de vous (Et croyez-nous, il y en a plein).
Simplement, il faut leur dire que vous êtes là, que vous existez, que vous êtes mignon tout plein et ne pas les agresser, surtout au début...

Il faut comprendre que les filles n'attendent que ça, et je vous jure que c'est vrai...../..

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Qu'est-ce que l'orgasme ?

L'orgasme est la manifestation physique de l'extase qui emporte, de plaisir absolu, le corps, le cœur et la tête à la fois. Cet orgasme "total" demande un concours de circonstances très favorables (différentes pour chaque femme). Il se produit donc assez rarement.

Quand la communion entre les partenaires est proche de la perfection ou quand la femme est en parfaite harmonie avec elle-même, cet orgasme complet est un moment magique que certains appellent "la petite mort".

Ce nom est donné parce que la femme a atteint un tel degré d'excitation et de plaisir qu'elle a le sentiment d'arriver à un point de non-retour et peut avoir l'impression qu'elle va mourir. Elle est proche, en tous cas, de la perte de conscience. Avoir peur à ce niveau est naturel.

Consciemment ou pas, cette peur peut empêcher d'avoir l'orgasme mais avec le temps, la femme arrive à dominer la peur et à se laisser aller au seul plaisir.
Cet orgasme est si intense qu'une femme n'en aura généralement qu'un et devra prendre le temps de "récupérer" si elle souhaite qu'un autre se produise.
A un degré moindre, d'autres types d'orgasmes sont possibles qui sont aussi très satisfaisants et qui, eux, peuvent se suivre assez rapidement. Le corps est alors saisi d'une réaction due à un plaisir sexuel très fort. Ce plaisir peut venir du corps seulement ou de la tête seulement ou des deux à la fois.

Cette réaction se propage dans l'ensemble du corps mais se ressent en particulier dans le ventre et dans le sexe. C'est plus ou moins visible en fonction de chaque femme et une même femme peut être, une fois très démonstrative et une autre fois quasi immobile et muette.
Ces orgasmes sont presque faciles à obtenir pourvu que la femme, toute seule ou accompagnée, s'en donne les moyens.

Avoir un orgasme demande, entre autres, une bonne connaissance de soi, la connaissance d'une ou plusieurs techniques, un entraînement et de la persévérance (on n'a rien sans rien !). Par contre, aucune technique lue, vue ou entendue, ne peut, à elle seule, provoquer un orgasme chez une femme si on se contente de l'appliquer bêtement.

Dans tous les cas, il faut personnaliser ses connaissances et les adapter à sa ou à la personne, aux moments de la vie, aux moments de la journée, à un état général, à des états particuliers, à des envies, etc. Et être attentif à ce que "dit" le corps. Le corps de chaque femme a son langage...
Il parle en frissons, en palpitations, en contractions, en torsions, etc. En conclusion,
apprendre à l'entendre, à l'écouter et à le comprendre est une des clés du plaisir.

1) L'orgasme vous intéresse en tant que jouissance finale, en tant qu'aboutisse ment de l'acte, en tant que récompense suprême ? Peu importe, l'important est de savoir que, s'il s'appuie sur une réalité physique, il peut survenir seulement par
l'esprit. Allons plus loin, il ne peut survenir qu'avec l'esprit, qui mène le corps.

2) Vous ne pouvez être fondamentalement contre l'orgasme, fut-il simulé. Simulé, oui, même pour l'homme il peut l'être. Car si l'orgasme masculin est
communément associé à l'éjaculation, ils en existent pour lui aussi de différentes intensités, quoi qu'on en dise. Encore une fois, renseignez vous, vous serez surpris(e).

Se faire plaisir tout le temps et partout !
- en serrant ou en croisant fort ses cuisses l'une contre l'autre et en contractant, à répétition, son vagin plus ou moins rapidement.
- en étant à cheval sur un accoudoir de fauteuil et en faisant basculer son bassin d'avant en arrière.
- en mettant un coussin entre les cuisses et s'y frottant.
- en dirigeant la pomme de la douche sur son sexe.- en s'asseyant sur son talon.- en frôlant de la pointe de ses seins le dos d'un inconnu, dans le métro, aux heures de pointe.
Chaque millimètre du corps est susceptible d'être à
l'origine d'un orgasme, l'imagination et
l'expérimentation sont les meilleures alliées de la
femme.

La masturbation "traditionnelle"
Confortablement allongée, nue ou à demi nue, la femme caresse ses seins, en titille la pointe ; descend ses mains sur son ventre, ses hanches, ses cuisses. Lentement, légèrement puis plus fermement, elle arrive de ses deux mains sur son pubis, glisse ses doigts autour de son sexe puis entre ses grandes lèvres ; et enfin, après avoir
délicatement écarté les grandes et les petites lèvres, se faufile le long de sa vulve.

Le désir qui monte, qui monte, pendant que sa tête fantasme, la guide vers le clitoris. Ce petit bouton hypersensible se cache sous un capuchon. D'un doigt mouillé, elle l'atteint pour le stimuler légèrement et lentement puis en accélérant et en s'aidant de son bassin qui ondule jusqu'à perdre le contrôle d'elle-même.

La masturbation "pénétrante"
Le début est le même que pour la masturbation que j'ai appelée traditionnelle. Mais en plus de la stimulation du clitoris qui peut conduire à l'orgasme, la femme pénètre son vagin des doigts d'une de ses mains.

Pendant que son autre main continue d'affoler le clitoris. Ses doigts introduits caressent le haut, au bord, de l'intérieur de son sexe. Là où se trouve le fameux point G. Elle ne trouvera pas forcément son point G la première fois.
Un peu de persévérance est nécessaire pour le découvrir et connaître les très agréables sensations qu'il procure. Cette double caresse favorise la montée du plaisir et conduit encore mieux à l'orgasme.

La femme qui était allongée au départ se retrouve un peu recroquevillée pour plus de commodités. Chaque femme a besoin d'un temps plus ou moins long pour que le plaisir monte à son point optimal.

Il arrive souvent qu'elle n'ait pas l'endurance suffisante pour se caresser aussi vite et aussi longtemps qu'elle le voudrait, surtout quand elle se rapproche de la jouissance, que tout doit s'accélérer et que rien ne doit s'arrêter.
Une aide extérieure est alors la bienvenue.

Pour se caresser "en surface"
Un vibromasseur que l'on achète sur catalogue de VPC ou en sex-shop. Qui se branche sur le secteur. (Les piles s'usent trop vite). Et qui s'utilise aussi bien sur le visage que le buste que sur le sexe. A chacune de trouver sa voie...
Pour se caresser "en profondeur" : Un godemiché vibrant ou pas. En caoutchouc plutôt ferme. Qui a la forme d'un sexe d'homme. Qu'il vaut mieux
lubrifier de crème ou de salive. Et que la femme fait entrer dans son vagin à son gré.
Si elle veut garder ses deux mains libres pendant cette pénétration, il lui suffit de s'asseoir sur le "gode" comme elle peut le faire sur le sexe d'un homme allongé (position d'Andromaque).

Pour atteindre l'orgasme seule, la femme expérimente toutes ces possibilités séparément ou en les associant entre elles. Au gré de sa fantaisie, de son expérience et de son imagination, elle découvrira mille autres richesses de son corps.
Pour augmenter la sensation de plaisir, une femme a la possibilité d'utiliser ses contractions vaginales.

Les contractions vaginales s'apprennent et s'entretiennent. Il suffit ../..

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Le Cunnilingus

Les caresses prodiguées au moyen de la bouche sur le sexe de la femme.

Après les baisers et les caresses dont vous l'avez, bien entendu, entourée depuis le visage jusqu'aux épaules et aux seins, en passant par le ventre et les bras.
Après lui avoir prodigué des caresses comme un long tourbillon qui a commencé très loin de son sexe, vous allez tout doucement, tout doucement vous approcher de celui-ci sans qu'elle s'en rende vraiment compte.
Arrangez-vous pour doucement vous retrouver à genoux entre ses cuisses, votre visage tourné vers le sien.
Abandonnez peu à peu les caresses et les baisers sur le visage.

Vous allez maintenant vous concentrer dans l'espace qui se situe entre le nombril et l'intérieur des cuisses jusqu'aux genoux mais en restant éloigné du sexe encore un moment.
Prenez ses fesses ou ses hanches dans vos mains et posez votre visage sur son ventre… Frottez votre visage sur son ventre, sur le haut de ses cuisses et sur ses hanches, puis frottez votre nez, vos joues, votre menton sur son ventre et sur le haut des cuisses et le long des cuisses. Votre visage circule depuis les genoux jusqu'au nombril...

Donnez des petits coups de langue en passant votre visage sur sa peau.
Votre langue se promène un peu sur le haut des cuisses, là où il y a ce petit sillon qui s'appelle l'aine, il est très sensible, passez-y et repassez-y votre langue encore.
Puis, votre langue descend dans le creux de sa cuisse juste entre le sexe et l'intérieur de sa cuisse, celle de droite et celle de gauche.
Faites le tour de son pubis avec votre langue, contournez toute la partie habillée de poils. Pas le milieu pour l'instant, pas encore, essayez d'attendre qu'elle vous le demande, essayez d'attendre que ce soit elle qui vous demande de poser votre bouche et votre langue sur son sexe.
Faites durer le plaisir encore et encore, en tournant autour du sexe, dans un sens et dans l'autre, et à droite et à gauche.

Faites glissez votre langue dans le creux des fesses, derrière, dans le pli, sous la fesse aussi loin que vous le pouvez sans lui remonter ses jambes. Laissez ses jambes sur le côté, abandonnées, détendues.
Elle est très offerte, elle s'ouvre, les lèvres de son sexe s'écartent d'elles-mêmes.
Regardez comme elle est belle ! Comme son ventre se tend ! Comme son sexe se tend vers vous... Soyez doux et patient, faites-la languir encore.

Plus son bassin bouge, plus elle ondule, plus elle se tend vers vous, plus vous êtes sûr qu'elle vous veut et qu'elle va vous réclamer.
Alors, faites-la languir encore un peu.
Pétrissez ses fesses de vos mains. Faites glisser votre langue à droite et à gauche de son sexe puis sous son sexe jusqu'à l'anus, en mettant votre visage de côté léchez l'entrée de son anus du bout de la langue.
Maintenant léchez le petit espace qui a entre son sexe et son anus.
Vous sentez la crème chaude et très parfumée qui s'échappe de son sexe ? Elle aime que vous aimiez, ne vous privez pas de la déguster.

Ensuite, remontez votre langue à l'intérieur de son sexe, soulevez ses lèvres de la pointe de la langue, à droite et à gauche puis en haut de son sexe et autour de la petite bosse.
Faites tourner votre langue autour de cette petite bosse, c'est son clitoris.

Ne le touchez pas encore, gardez les petits points les plus sensibles pour la fin, le plus tard possible, quand elle n'en pourra plus.
Continuez de la lécher à l'intérieur des lèvres de son sexe puis à l'entrée de son sexe, là où c'est tout mouillé.

Maintenant vous pouvez poser votre langue à l'extérieur de son vagin.
Faites aller et venir en surface encore et puis enfoncez la langue un petit peu dans son vagin.
Puis remontez sur les côtés de son sexe et autour de la petite bosse en haut, pointez votre langue partout et un petit plus fort, embrassez le sexe à pleine bouche, prenez-le entièrement dans votre bouche puis relâcher-le.
Avec vos doigts vous allez doucement écarter son sexe. Écartez-le de chaque côté et relevez-le.
Remontez-le un petit peu vers le haut. Prenez le temps de le regarder, il est tout brillant tout luisant.

Vous voyez le petit bouton qui est en haut ?
Sous le petit capuchon il y a un petit morceau de chair et de peau qui le recouvre, dégagez-le, du bout de vos doigts doucement tout en maintenant tout son sexe écarté.
Regardez-le amoureusement et regardez-la alternativement dans les yeux !
Elle a besoin de sentir que vous trouvez son sexe joli, doux, chaud, parfumé, elle a besoin de sentir que vous aimez son sexe, que vous avez envie de le manger, de le dévorer. Elle n'attend que ça...
Mais attendez encore un petit peu : si elle a les yeux fermés, laissez-la partir dans son délire, laissez-la apprécier, ne vous inquiétez pas.

Faites de nouveau circuler votre langue sans toucher au petit bouton qui est en haut. Enfoncez votre langue encore dans l'entrée de son sexe. Faites jouer vos doigts un petit peu, utilisez vos pouces pour bien écarter. Maintenant seulement vous allez pouvoir vous approcher de son petit bouton.
Restez calme, du plat de la langue doucement, sans trop appuyer, remontez sur son petit bouton, faites passer votre langue une fois deux fois, trois fois.
Faites tourner la pointe de votre langue autour du bouton.
Reprenez-le du plat de la langue encore une fois.

Laissez votre langue posée sur son clitoris.
Posez le plat de votre langue sur son clitoris, faites vibrer votre langue en bougeant un petit peu la tête sans déplacer la langue. Faites-la vibrer encore un petit peu. Relâchez puis repassez votre langue en bas à droite, au-dessus, autour puis revenez sur son bouton.
De la pointe vous poussez le petit capuchon qui recouvre son bouton. Cela résiste et ça vous échappe à chaque fois...
Dégagez le petit capuchon du bout de la langue sans trop appuyer, sinon vous allez lui faire mal. N'hésitez pas à mettre plein de salive.
Allez voir à l'intérieur de son vagin, à l'intérieur de son sexe ; encore à droite et encore à gauche. Elle devient totalement dingue. Elle s'accroche à vos cheveux !
Elle veut que vous plaquiez votre bouche !
Laissez-la vous plaquer toute la largeur de votre bouche sur son sexe. Englobez toute sa vulve, toute la surface de son sexe...

Englobez-la dans votre bouche et massez son sexe de vos lèvres de haut en bas et sur le côté.
Maintenant, vous allez pouvoir vraiment faire bander son petit bouton, la faire bander au point de la rendre dingue !
Avec deux doigts d'une main vous maintenez le haut de son sexe ouvert et légèrement relevé pour bien dégager le petit bouton.
De l'autre main vous allez mettre votre pouce à l'entrée de son sexe et les autres doigts (tous mouillés pleins de salive) sur son anus et sur le petit espace qui sépare l'anus du sexe.
Vous la caressez toujours, sans oublier des petits baisers et à droite et à gauche. Vous êtes en position : deux doigts d'une main (le pouce et l'index) pour maintenir le sexe écarté et un petit peu relevé.

Le pouce de votre autre main à l'entrée de son sexe sans la pénétrer encore.
Caressez l'entrée de son sexe en tournant, en montant et en descendant un petit peu.
Si ce n'est pas assez mouillé, ajoutez de la salive, et si votre salive ne suffit pas il faut penser à prendre de la crème.

Vos autres doigts lui caressent
- l'intérieur des fesses
- l'entrée de son anus
- le petit espace qui a entre son anus et son sexe.
Approchez doucement vos lèvres de son petit bouton, doucement, embrassez-le et donnez-lui des petits coups de langue légers...
Maintenant, soyez très attentif !../..

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