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mercredi 3 mars 2010

Ta main

J'adore ta main gauche.

Qu'est-ce qu'une main, sinon une suite d'os mise bout à bout ; recouverte d'un peu de chair et de peau ?

Peut-être, mais ce ne sont pas toutes les mains qui se crispent sur l'oreiller comme ta main gauche.

J'adore ta petite main quand elle se crispe sur l'oreiller... Elle l'agrippe, le serre, un peu comme le ferait une main salvatrice au cours d'une chute.

Tu vois, la main qui agrippe la saillie de rocher et qui évite la chute mortelle. Moi, c'est comme ça que je vois ta main quand elle agrippe l'oreiller ; quand je te
fais l'amour.

Ton visage, je ne le vois pas, il est caché par ta lourde chevelure. Ton corps, je l'aperçois à peine, seulement quand je me relève sur les avant-bras quelques instants afin de soulager tes fesses meurtries par mes coups de boutoirs d'hommes empressés à te faire jouir...

Ta main gauche, je l'aime.
J'imagine une vidéo. Plein champ sur cette main.
AMOUR AVEC NATACHA UNE PREMIERE : CLAP. La caméra cadre en plein ta main. Je te fais l'amour.

La main est posée sur l'oreiller comme un papillon.
On sent bien (la caméra rend bien cette perception) que ta main peut voleter ailleurs. Mais non ! Si elle est là, ta main, c'est qu'elle doit rendre compte, du déroulement, de la progression de nos ébats.

Elle a une fonction propre. (Autrement, il n'y aurait pas de caméra.)
Donc, elle est posée tranquille, placide, neutre presque. On va dire durant une petite minute. Non, une minute, c'est trop dans un film, une vingtaine de secondes, ça ira. C'est déjà bien.

Et même, durant cette vingtaine de secondes (ce qui est déjà long en vidéo), la main bougera un petit peu, genre les doigts se referment, mais un petit peu ; on peut tout imaginer ; mais pas nécessairement que je suis derrière toi, à regarder ta main, en train de te pénétrer sauvagement (ça, on le découvrira après, quand le champ s'élargira, quand la caméra s'écartera de ta main et fera découvrir au public ébahi ton corps superbe couvert par mon non moins corps superbe collé cloué-attaché.)

Pour l'instant, ta main gauche (après les vingt secondes) commence à agripper l'oreiller. Je la fixe intensément, c'est mon radar, ma sonde, le témoin de la résultante de nos ébats. Plus tu crispes, plus c'est bon... Spasmodique ment, on le dit comme ça.

Tu serres l'oreiller de façon spasmodique. Je te pénètre bien à fond, tu crispes, je le retire, tu décrispes, et ainsi de suite. Je m'enfouis dans ton tréfonds, tu crispes plus fort, et ainsi de suite...
Pauvre oreiller. Il est malmené. Tu ne l'as pas prévenu.
C'est une composante de notre amour.

Et s'il n'y avait pas d'oreiller, hein ? Et bien, ta main gauche chercherait partout quelque chose sur quoi s'agripper (le rideau, le drap, mes cheveux – ça nous est arrivé et j'ai adoré cela - que sais-je encore) mais peu importe..
Je suis bien en toi, tu sais Clara. J'aime ta main gauche. Attention, tu serres plus fort le tissu !
Tu vas jouir, et m'entraîner là-haut avec toi bien sûr. Tes petites fesses cognent maintenant contre mon ventre, tu n'aspires, je viens, tu viens, ta main malmène l'oreiller comme si tu voulais déchirer l'étoffe...

Ça y est ! Ta main, enfouie comme moi au plus profond comme moi de l'oreiller comme moi au fond de toi ne bouge plus comme moi... Nous attendons que la tornade passe... Haut, encore plus haut, apogée, hyperbole, descente, atterrissage, sensations, plénitude... Sens retrouvés à grand peine...

Au bout d'un long moment, je sors mon sexe de ton sexe, couvert de bonheur. Tu te retournes, ta main gauche abandonne l'oreiller (le pauvre – tout chiffonné -) et se pose sur ma nuque ; tu forces afin d'approcher mes lèvres des tiennes...
Il m'arrive de regarder, quelquefois, ta main gauche vaquer à ses occupations quotidiennes, mine de rien, et je lui fais un clin d'œil... Elle sait elle, elle sait que je sais. Mais cela reste entre nous.

Tes pieds
J'adore tes pieds. Les deux ; sans préférence.
Malgré que cela ne soit pas vrai, j'aime à penser qu'ils sont identiques. J'en mets un contre un miroir, et hop ! l'autre apparaît. Mais non, il est derrière le miroir, l'autre, oh le coquin !
Je les mets tous les deux devant le miroir. Cela fait quatre pieds. C'est trop. Je ne voudrais pas d'une femme avec quatre pieds.

J'aime tes pieds quand ils te rapprochent de moi, quand tu cours vers moi, quand tu les agites sur les pédales de ton auto. J'aime les regarder quand tu m'attends : Tu les positionnes l'un normal, pointé vers l'avant, le talon de l'autre venant se nicher dans le coup de pied du premier, un peu comme font les danseuses.
Tu as dû être danseuse.

Tiens, je n'ai jamais pensé à te le demander. Trop tard.
Tu as les pieds dits égyptiens, c'est à dire que le gros orteil est plus long que les autres. Un soir, je me rappelle, je te les ai massés. Tu as aimé. Tu me disais souvent : “ J'aime tout avec toi ”.
Un autre soir, je t'ai léché les gros orteils, l'un après l'autre. Sucé, devrais-je dire. Une sorte de fellation d'orteils. Tu as compris l'allusion d'ailleurs... Ton regard pétillait.

Ton sexe
Je l'aime, ton sexe. C'est drôle, ../..

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Le cheveu érotique

Soudain, il se mit à genoux devant elle. Assise au plus profond du sofa, elle n'eut pas de mouvement de recul, mais un réflexe amusé plutôt : elle croisa les bras et le regarda bien en face, de la malice dans les yeux ; attentive à ce qui allait se passer...

Tout doucement, il leva ses paumes et les posa sur ses épaules ; il regardait ses mains, n'osant
affronter son regard.

Il ne voulait surtout pas brusquer les choses, vérifiant d'un rapide coup d'œil s'il pouvait accentuer sa caresse, un petit peu ; un tout petit peu...

Manifestement tout allait bien : ses yeux se fermaient à demi. Elle ne semblait pas vouloir cesser le jeu. Du moins, il sentait qu'elle attendait ce qu'il pouvait advenir, mais sans l'appréhender outre mesure.

Il s'enhardit à laisser ses deux pouces, simultanément, remonter le long de sa nuque, en une caresse légère.

Il leva de nouveau les yeux : ses paupières battaient ; sentant qu'il l'observait, elle les ferma complètement. Les pouces continuèrent insensiblement à monter et descendre le long de la nuque gracile. La nuit tombait ; la musique était envoûtante ; ils étaient bien.

Elle sentit que la caresse s'accentuait. La main droite, puis la gauche, avaient pris possession du haut de sa nuque, juste à l'endroit où les cheveux follets prennent naissance.

Après un temps d'arrêt, les cinq doigts, pointés vers le haut comme pour une supplique vers quelque idole, pénétrèrent la profondeur intime des cheveux. Légèrement refermées, ses paumes épousaient la forme du crâne. Ses doigts entrouverts laissaient défiler entre eux les cheveux, creusant des sillons profonds.

Toujours les yeux fermés, mais maintenant les bras le long du corps, elle semblait goûter pleinement l'instant. Peut-être se trompait-il, mais il pensait que le fait de fermer les yeux accentuait ses autres sens, notamment celui du toucher.
D'ailleurs, il ferma les siens aussi.
C'était effectivement magique !

Ses mains se rejoignirent, laissant échapper les dernières mèches, redescendirent le long du visage et enveloppèrent à nouveau doucement sa nuque.
Manifestement, elle ne savait que faire des siennes...
Qu'elle reste comme cela, qu'elle ne bouge surtout pas ! Il ne fallait surtout pas briser le charme, pensait-il.

Il la caressa ainsi de longues minutes.
Chaque centimètre carré de sa chevelure fut effleuré avec la minutie d'un explorateur en terre inconnue, vierge, sauvage. Au bout d'un moment, ses lèvres s'entrouvrirent, comme une invite.
Il y répondit en y appliquant les siennes doucement, très doucement, afin d'en bien épouser les contours.

Puis il se redressa. Elle avait toujours les yeux fermés, et l'on ne percevait son trouble qu'à sa respiration, plus profonde, qui soulevait sa poitrine. Insensiblement, comme indépendamment de sa volonté, ses bras se soulevèrent, décrivent dans l'espace uns sorte d'hyperbole et vinrent* entourer ses épaules.
Elle avait les yeux toujours fermés.

Elle se retrouva ainsi tout contre lui, la tête posée sur son épaule. Il sentait son cœur battre contre le sien. Fort. Il continuait sa caresse, mais plus fermement, de façon plus possessive.
Il avait de plus en plus de mal à se dominer, à maîtriser son désir. Lui caressant../..

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La plume érotique

La plume se promenait, dirigée de main de maître par Hugo, sur et autour de son pubis.
- Si cela ne te dérange pas, tu n'enlèveras ta culotte que lorsqu'elle sera trempée. (C'est malin !
Et je la remettrai trempée, pour repartir ! Hein !) Il répondit à cette question non formulée :
- Et d'un, tu n'es pas obligée de la remettre pour repartir, et de deux, tu n'es pas obligée de partir.

Clara ne dit rien. Le plaisir montait. En effet, quoi de plus doux sur sa peau que l'effleurement de cette plume.
- Elle est très propre, dit-il tout fier, je l'ai lavée avec du Cadum, puis sèche cheveux, puis démêlage au peigne et fer doux". Elle ferma les yeux, s'efforçant de ne pas l'écouter trop. C'était très bon. Très doux. Aérien.

La plume s'insinuait dans les moindres petits recoins, autour et sur son sexe. Dans les plis de son aine, autour de sa culotte (Trempée dans les deux premières minutes, cela va sans dire). Seule la flamme de la bougie projetait quelques lueurs.

Clarté infime permettant d'oublier toute pudeur. Et puis, Clara avait oublié, et depuis longtemps, toute sa pudeur au vestiaire. Elle était bien. Elle se sentait bien. Avec Hugo.
Il la caressait de la plume et du regard. Sans se presser. Cherchant les endroits les plus intimes, les plus réceptifs, les plus... (le corps de Clara ondulait comme une houle).
C'était très bon.

Encore habillé d'une chemise (déboutonnée sur plus de la moitié) et d'un jean, mais sans slip (elle apercevait le foisonnement de sa toison et un bout de son sexe - de son Léon - au travers de la braguette retenu par un seul bouton), Hugo s'était assis sur le bord du lit.

Outre son sexe gonflé à outrance et sa respiration saccadée, son désir était encore plus présent dans son regard. Entrouvrant à peine les paupières, elle croisa celui-ci et l'afflux de moiteur qu'elle sentit sourdre de son vagin fut la réponse immédiate à cette passion entrevue, mais bien réelle, existant au fond des prunelles de Hugo.

Un torrent coulait, semblait-il, d'entre ses cuisses.
(Mais qu'est-ce qu'il attend !) Il répondit à cette invite muette. Abandonnant la pauvre plume aux fanons tout collés-mouillés, qu'il déposa comme une relique sur le bord du lit, il écarta d'un doigt sa culotte et plongea, bouche demi-ouverte d'où pointait une langue déjà dardée.

Clara se cambra d'un coup lorsqu'elle sentit la langue caresser doucement sa vulve. De son autre main, il sortit délicatement les seins de Clara de leur logement (elle avait gardé également son soutien-gorge - quelle idée !) et se mit à les caresser doucement.

N'y tenant plus, elle l'arracha presque, trouvant in extremis (elle l'aurait déchiré sans remords...) le petit crochet qui le retenait. Dans le même mouvement (cambrée elle était), elle fit glisser sa culotte qu'elle jeta dans la chambre, au hasard.

Lors de cette opération, Hugo, calme en apparence, continuait de la caresser (ses mains couraient partout) en la regardant intensément. Il bandait comme un fou. Mais se contrôlait.
À grand peine. Le regard voilé, elle prit à deux mains le visage de Hugo et appliqua avec force ses lèvres sur les siennes. Elle l'embrassa goulûment, à pleine bouche, un long moment, pendant qu'il arrachait sa chemise, puis s'écroula en arrière, anéantie. Cuisses et bras écartés.
Offerte...

Il plongea à nouveau. (Mais qu'est-ce qu'il me prend? Je le connais à peine, le Hugo, et me voilà offerte à lui comme jamais ! Et que je te le prends dans ma bouche, son sexe, extirpé de son pantalon d'où je l'ai fait jaillir comme un diable de sa boîte).

Et voilà que maintenant je te le suce comme si je voulais en extirper toute la sève d'une année d'un seul coup d'un seul. Et Hugo qui me lèche comme d'une glace fondante sous le soleil, qui va chercher partout, et qui l'avale, tout ce qui coule de moi, et ça coule ! Et ça coule !

Je l'aurai, je serre fort, je veux jouir, mais je veux qu'il jouisse aussi, en même temps, je serre encore plus fort, j'aspire, je suce, je lèche, je serre, je...

Clara lâcha tout, d'un coup, et exhala une longue plainte, presque un cri, une sorte de long hululement. Très haut elle était montée, très haut.
Yeux fermés, elle gisait maintenant en travers du lit, comme exsangue.

Hugo ne bougeait plus, bouche collée contre sa vulve. Il attendit ainsi sans broncher que la vague de plaisir qui l'avait submergée se fut retirée, puis se releva doucement, non sans la caresser encore et encore, doucement, sur tout le corps.
Enfin, il la recouvrit d'un drap et la contempla.

Sans mot dire. Seul une étincelle brillait dans ses yeux...
- Salaud ! s'exclama Clara, croisant son regard, et, confuse, elle se retourna sur le ventre.
Quelque temps après, elle prit son sexe à pleines mains :
- Alors, mon petit, qu'est-ce qui t'arrive ? T'es tout petit tout ridicule ! C'est moi, Clara, ta copine.../..

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Massage et périnée

Quid du massage

Vous aimeriez pratiquer des massages sur vos partenaires, mais vous vous posez quelques questions : "Je ne sais pas comment faire. Y a t-il des risques ? Faut-il suivre son instinct et son imagination ? Faut-il prendre des cours ?" Je vais essayer d'y répondre.

Les massages sont répartis dans des gammes différentes suivant les besoins de chacun et les résultats que l'on souhaite obtenir. Un non-initié qui veut simplement se faire et faire plaisir peut se contenter de suivre son inspiration du moment. Il suffit de considérer alors le massage comme une caresse un peu spéciale et un peu plus appuyée qu'un effleurement du corps.

La nuque, les tempes, les voûtes plantaires, les épaules, le dos sont les endroits qui remportent le plus de suffrages. Mais depuis le cuir chevelu jusqu'aux orteils, chaque centimètre de peau appréciera d'être doucement malaxé, tripoté, étreint, peloté du bout des doigts et à pleines mains.

Si vous suivez attentivement les réactions de votre partenaire, vous aurez très naturellement les indications qui vous permettent de doser vos gestes et de trouver les bons rythmes.
"On" dit qu'il faut toujours aller dans le sens de la circulation du sang: c'est à dire en direction du cœur. Il semble pourtant que ce principe ne soit valable que pour certains massages médicaux.

Dans le cas du massage loisir, il est de toutes façons préférable de ne pas insister trop fort pour ne pas froisser les muscles. De ne pas agir directement sur la colonne vertébrale pour ne pas risquer de déplacer une vertèbre. De huiler ou de crémer vos mains pour plus de confort.
Si vous agissez lentement et régulièrement, attendez-vous à ce que votre partenaire se détende au point de s'endormir ; ne vous en offusquez pas, c'est la preuve de votre savoir-faire. Si vous espérez provoquer une excitation sexuelle, variez les rythmes et les pressions.

Là, encore, les réactions du corps vous seront des guides précieux.
Provoquez aussi des surprises qui maintiennent les sens en éveil ; passer d'une épaule à une fesse, d'un pied au visage, laisser ses mains en suspens quelques secondes avant de les reposer.

Utilisez des accessoires ; gants de crin pour la chaleur, des balles de tennis à faire rouler, des plumes, vos ongles, vos cheveux, vos seins, etc...

Un des massages érotiques par excellence est le body body. Il consiste à masser le corps de l'autre avec l'ensemble de son propre corps préalablement huilé.

Ensuite, rien ne vous empêche de consulter les annonces dans la presse et de participer à des stages d'initiation. Ils vous ouvriront d'autres horizons et vous feront découvrir des massages spécifiques tels que le "californien", le "thaïlandais", le "suédois", la "digipuncture", etc...

1) Vous voulez créer une zone érogène ? Caressez n'importe quelle partie du corps de votre partenaire (par exemple la hanche ou le bras), souvent et longtemps. Cette partie va devenir très sensible et votre partenaire en redemandera. Vous en ferez votre esclave…

2) Un gars, très laid, proposait à certaines femmes de les masser. C'était un masseur génial, qui aimait vraiment ça. Réticentes au début, elle se pâmait vite sous ses mains expertes. Il draguait ainsi, et cela ne marchait pas si mal. Faites-en autant !

La pratique du massage

Le massage est LA caresse par excellence. Il se dose et se rythme en fonction de l'état et de celui qui le reçoit et de celui qui le donne. Le corps se masse de la tête aux pieds, dans les moindres recoins.

Chaque centimètre de peau appréciera diversement le massage, mais l'appréciera. La seule et importante précaution concerne les vertèbres qu'il vaut mieux éviter lors des débuts.
Le crâne préfère un massage un peu ferme à la limite du grattage mais sans les ongles, en tous cas, dans un premier temps. Il est pratiqué du bout des doigts.

Placer les dix doigts en éventail autour de la tête, les pouces vers le bas (à la base du crâne et en haut de la nuque). Commencer par déplacer le cuir chevelu sans déplacer vos doigts. Progresser en englobant toujours le crâne de vos dix doigts, les deux petits allant jusqu'aux tempes.
Resserrer et écarter vos doigts en effectuant des petites rotations appuyées. Descendre les petits doigts jusqu'aux sourcils. Faire aller les pouces de derrière les oreilles à la nuque.

Le visage aime aussi se faire masser. Toutes ses arêtes se détendront entre le pouce et l'index replié qui les pinceront sans douleur. Pommettes, sourcils, coins externes des yeux, creux des joues, base de la mâchoire, menton, sous le menton, entre le nez et la bouche, entre la bouche et le menton, le contour des oreilles et les deux muscles qui sont de chaque côté de la gorge, depuis la base de l'oreille jusqu'au départ du buste, dans l'ordre et dans le désordre.

La pratique du massage
De la détente d'un crâne et d'un visage fatigués à un peu de tendresse érotique, il n'y a qu'une langue. La faire entrer en action sans retirer vos mains.
La pointe de la langue se faufile sur la nuque, derrière les oreilles, effleure l'intérieur de l'oreille, pense aux trapèzes et aux clavicules, remonte le long de la gorge, lèche les lèvres, les dents, la langue.

La bouche entre dans la danse à son tour et du bout des lèvres, tète le lobe de l'oreille, embrasse les paupières, le bout du nez, les lèvres. Se pose mollement sur tout le visage jusqu'à la naissance des cheveux.
Les mains, la bouche, la langue vont d'un endroit à l'autre en se relayant et à aucun moment n'abandonnent complètement le contact avec la peau.

C'est maintenant le moment que la lenteur tendre et douce de cette première étape fasse place à quelques surprises. Ceci afin que l'être bienheureux qui "subit" ne s'endorme pas. Intercaler des sources frissonnantes.

Un petit coup de langue par-ci, un ongle qui griffe par-là, un pincement des lèvres. Sur les points les plus sensibles ; le cou sous l'oreille, le creux de la clavicule, la nuque, la bouche.
Descendre le long du corps et franchir le délicat passage des bras si sensibles en leur dessous ; des mains dont le creux et chaque doigt aiment à être léchés amoureusement ; des seins qui se caressent, se massent, se titillent, se lèchent et se mordillent inlassablement; du nombril qui veut être aspiré, pénétré et du ventre pétri, brassé, léché, suçoté. Déjà, tout cela, c'est déjà un bon début, n'est-ce pas ?

1) Vous avez sans doute été massé(e) par un(e) spécialiste à une époque de votre vie et cela vous a semblé véritablement divin. Dites-moi, vous vous êtes endormi(e) ou bien vous vous êtes senti excité(e) comme jamais ? Ou les deux à la fois ? Quel souvenir, n'est-ce pas ?

2) Ne refusez pas de la vie ce cadeau qu'est un massage bien fait. Commencez par un massage des épaules et des bras, puis faites-vous masser, au choix, les pieds ou les mains. Vous allez découvrir ce que détente veut dire. Cela vous calmera pour un temps.
Book : Toujours plus sensuel(le) ? Si je veux !


Le périnée


Si nous connaissons depuis longtemps la nécessité d'entretenir son corps pour le garder jeune le plus longtemps possible, nous nous contentons souvent de muscler et de garder en forme les endroits qui se voient : biceps, cuisses, ventre, seins, etc...

Mais en oubliant parfois les muscles qui se voient moins ou pas du tout et qui pourtant participent énormément à la qualité des relations sexuelles mais aussi à l'ensemble du bien-être quotidien.

Je fais particulièrement allusion au périnée, ce muscle d'environ deux centimètres de long qui se trouve entre le bas du sexe et l'anus chez les hommes comme chez les femmes. Cet espace si petit, qui n'a l'air de rien, soutient, à lui tout seul, tous les muscles et tous les organes qui se situent au niveau du bassin. Il a plusieurs fonctions capitales au niveau médical et érotique.

Au niveau médical : même chez des femmes très jeunes, il peut être un peu distendu et donc empêcher de se retenir de faire pipi à volonté. Les médecins appellent ça "l'incontinence urinaire".

C'est encore plus fréquent chez les femmes jeunes ou moins jeunes qui ont accouché au moins une fois dans leur vie; le passage du bébé à la naissance a provoqué sur le périnée un tel effort que comme n'importe quel autre muscle, il a besoin d'être remis en état.

Un périnée musclé empêche d'uriner involontairement et, mieux, il évite toutes les fuites qui se produisent quand l'on tousse, éternue ou lorsqu'on provoque une secousse à son corps. Un périnée entretenu peut aussi empêcher une descente d'organes que les médecins appellent "prolapsus" et qui est très handicapant. C'est très important, surtout quand on sait qu'avec l'âge, la situation empire et que plus l'on attend, plus c'est difficile à soigner.

Au niveau érotique : pour la vie amoureuse, un périnée musclé a des avantages supplémentaires; il permet à la femme, pendant qu'un homme la pénètre, ../..

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La température

Son studio n'était pas fini ; Composé d'une pièce unique et d'une grande terrasse, il lui manquait encore la cuisine, mais la petite salle de bain était presque équipée.
Cette soirée était fraîche, mais agréable ; ce devait être le début de l'automne.

Elle avait ses règles, ce qui arrive aux femmes 13 fois par an (Comme à son habitude, elle ne m'en avait rien dit mais je m'en étais aperçu en la caressant : J'avais senti la ficelle de son tampon) ce qui fait que je l'avais léché autour de et sur son
petit bouton et l'avait amené ainsi rapidement au plaisir. (Je sais qu'une femme indisposée est plus sensible qu'en tout autre période de son cycle. Ça, je le sais)

J'avais fait cela, elle debout et moi à genoux devant elle - au milieu des travaux, pas facile de s'allonger -.

Elle avait joui les mains crispées dans mes cheveux.
Ensuite, tout doucement, toujours à genoux, j'avais remis de l'ordre dans sa tenue (rabaissé sa jupe et remonté sa petite culotte) puis, me remettant debout, je l'avais entraînée sur la terrasse. Moi derrière, elle s'était accoudée sur le bord de celle-ci.

Elle était encore toute frémissante du plaisir reçu.
Je la serrais très fort, ayant peur qu'elle prenne froid. Nous restâmes ainsi un long moment, immobiles.

Ses fesses ondulaient maintenant doucement. Je n'y pris pas garde dans un premier temps, pensant à un jeu. Mais je commençais à grossir. Par une sorte de réflexe, j'appuyais plus fort mon sexe sur son fessier. Elle répondit à cette caresse sans aucune équivoque...

Non seulement ses fesses se pressaient contre mon sexe, cherchant à l'épouser étroitement, mais de plus elles se balançaient de droite et de gauche de façon lascive. Je ne mis pas longtemps à être dans un état indescriptible. Je me dégrafais prestement et sortis mon sexe tout en relevant sa jupe, abaissai de nouveau sa petite culotte (l'élastique de celle-ci fut mis à mal ce soir-là) et collai mon sexe tout contre ses fesses, au milieu.

Elle continuait à onduler. Toujours collé à elle, je mimais l'amour, reculant et avançant tour à tour, pressant Gustave. Aucun geste de retenue de sa part. Je jetai un coup d'œil alentour. Des maisons étaient bien mitoyennes, mais leurs occupants ne semblaient pas vouloir mettre le nez dehors ; pas de vis-à-vis, ou alors avec une paire de jumelles...

Je me reculais quelque peu et me mit en position, au jugé.
Je l'avais déjà plusieurs fois sodomisée, et je dois avouer, sauf au début où manifestement elle avait peur d'avoir mal, qu'elle avait appris à aimer cette façon de faire l'amour.

Je promenais un petit moment le bout de Gustave sur sa vulve. Elle était trempée. Le lieu, sa jouissance précédente, moi aussi sûrement,
l'excitaient. Je remontais jusqu'à sa petite ouverture... et ne bougeais plus.

Comme dans toute sodomie, il faut attendre que celui qui reçoit soit prêt (ça aussi, je le sais) ; ne surtout rien brusquer. Elle sentit, bien entendu, que j'avais compris ce qu'elle m'offrait, et que c'était à elle maintenant d'agir.

Au fil du temps, nous étions parvenus à une grande communion d'idées en matière sexuelle.

Clara, qui avait un mal fou à retirer sa culotte elle-même dans les premiers temps, avait acquis cette confiance totale et aveugle qui nous permettaient à présent de faire l'amour quand ça nous plaisait, où ça nous plaisait, comme ça nous plaisait...
Elle mit un temps fou à se pénétrer, à se remplir de mon sexe en entier.

Elle prit vraiment son temps, comme un vraie pro ; elle accentua la pression, la relâcha, l'accentua à nouveau, jusqu'à que son anneau cède.
Là, comme elle l'avait appris, elle s'arrêta le temps que son intimité s'habitue et épouse bien Gustave.

Moi, je retenais mon souffle, attentif à ne pas lui faire de mal.
Quand elle commença, imperceptiblement tout d'abord, puis avec plus de force, à s'emplir de mon membre, il m'a fallu faire appel à tout mon contrôle pour ne pas exploser.

Soudain, tout s'écarta : je me trouvai dans son petit logement, bien serré, chaud et accueillant, qu'elle se remplissait à sa guise par un mouvement de va et vient prudent, puis../..

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La sexualité des animaux

Le porc épic n'éjacule pas à chaque fois qu'il fait l'amour !
Messieurs, si vous essayiez de les imiter sans avoir à l'esprit l'obsession de l'éjaculation, vous découvririez des sensations cérébrales peu connues du genre humain.

Les escargots possèdent les deux sexes et se livrent à la bisexualité pendant une dizaine d'heures. Rien ne vous empêche de vous amuser à changer les rôles, qu'un homme se comporte comme une femme , en faisant l'amour à sa compagne avec tout son corps sauf son sexe masculin, et que la femme se comporte en homme jusqu'à la pénétration de l'anus de son mari pourquoi pas ?

Si l'on admet que la conduite sexuelle des mâles, comme c'est la plupart du temps le cas chez les animaux, est dictée par la perpétuation de l'espèce, il est facile de suggérer aux hommes que quand ils ne souhaitent pas faire un enfant, qu'ils apprennent à faire l'amour avec l'ensemble de leur corps et aux femmes de les y aider en jouant au plaisir d'être bien ensemble.

Les serpents, plus égoïstes, pénètrent leur femelle pendant 22 heures. Je dis bien vingt deux ! Il n'est pas du tout certain que les femelles y trouvent le moindre plaisir mais au moins ont-ils la gentillesse de choisir des positions confortables pour qu'elles soient patientes.

Cette pratique m'inspire le plaisir que l'on peut ressentir à laisser un homme pénétrer une femme alors qu'elle reste totalement passive.
Les humains sont des animaux qui pensent, qui rêvent, qui imaginent, qui fantasment, qui recherchent plaisirs et bonheur et pourtant, il ne serait pas stupide que les humains que nous sommes volent quelques idées à nos amis les bêtes et à leurs sœurs, les plantes.

Une leçon de choses inspirée par la nature pour une sexualité plus originale qui n'a rien de contre nature !
Les femmes oursins attirent leurs partenaires par le parfum puis les excitent, les titillent, les papouillent jusqu'à les faire jouir sans qu'il y ait pénétration.

Les femmes humaines disposent elles aussi de parfums de toutes sortes qui inspirent, au choix, la suavité, la fraîcheur, la jeunesse, la nuit, le mystère...
Sans compter toutes les odeurs du corps, dans le creux du cou, derrière l'oreille, entre les seins, sous les bras, en haut du sexe, entre les cuisses, derrières les genoux, autour des chevilles. Parfums et odeurs naturels qui affolent les sens du partenaire pour peu que celui-ci accepte de prendre le temps de "mettre son nez partout" et de humer, de respirer la peau avant pendant ou après des caresses.

Les grenouilles miment l'amour et jouissent ../..

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Un été érotique

Souviens-t'en, c'était l'été. Il faisait très chaud.
Milieu d'après-midi. La fenêtre était grande ouverte sur le jardin. Les branches des arbres battaient doucement l'air chargé de la senteur poivrée de la terre surchauffée. Il y eût un orage ce soir-là.
Formidable.
On l'a regardé ensemble, à cette fenêtre, éclaboussés. Sans rien dire. Longtemps...
Mais revenons à cet après-midi.
Je t'ai bandé les yeux, puis les miens. Tu as confiance. Je te parle doucement : "Je veux te découvrir tout entière, par le toucher d'abord.
Après, je verrai. Je t'aime". Doucement je te guide afin que tu sois à genoux sur le lit, face à moi. Je fais de même. Au jugé, nous sommes à quelques 20 centimètres l'un de l'autre. Immobiles.

Tu te souviens ?
Je te parle encore plus doucement :
-Tu sens la chaleur ?
- Oui.
- Il fait très bon.
- Oui, il fait très bon.
- Dis-moi quelque chose.
- J'attends la suite!

Je sens son souffle sur ma joue quand elle parle. Je la sens très proche de mon cœur. Je sens son odeur de fleurs fraîchement coupées. Je la sens fort.
- Voilà. Nous avons une minute chacun. Tu me caresses, je te caresse, tu me caresses et ainsi de suite. Une minute chacun. Nous avons le droit de parler, bien sûr.
J'entends un petit rire qui rafraîchit l'atmosphère étouffante.
- Qui commence ?
- Vas-y ! dit-elle.

Tu mets tes mains sur mes épaules, comme pour me cadrer, descends le long de mon torse. Puis je les sens sur mes hanches, se rejoignent sur mon sexe qu'elles agrippent (je suis déjà gros depuis longtemps).
- Tu triches.
- Je te caresse où je veux, non ?
- Oui, mais tu brûles les étapes, me semble-t-il.
- Il aime ça, lui.
- Alors on est deux. Et toi, tu aimes?
- J'adore. Il est gros.
Elle me presse le membre, remonte, redescend le long de la hampe.
- Arrête, s'il te plaît ! - J'ai droit à une minute. Il s'est écoulé à peine 30 secondes.- Attends, tu vas voir, tu ne perds rien pour attendre.
Elle lâche mon sexe, se penche et lui fait un petit bisou. Un autre, entrouvre la bouche, lèche rapidement mon gland puis se redresse.
- Voilà. À toi. (Je suis dans un état !)
Ça te revient ?

Je commence moi aussi par tes épaules. Je m'y attarde. Tu les as rondes, douces, fermes. Descend le long de tes bras, te caresse doucement les phalanges, masse tes paumes.
Je passe ensuite aux hanches, m'attardent un peu sur ta taille que je presse, puis t'agrippe les fesses, écartant les doigts au maximum (tu as de petites fesses, mais j'ai des mains malgré tout trop petites également pour les englober tout entières - à deux mains pour une fesse peut-être - ) je les pétris.
Tu halètes un petit peu.
- Tu m'as mis dans un état déplorable. Je vais essayer de te rendre la pareille. Méchante.
– Essaie !
- J'essaie.
Mais je sens qu'elle perd pied, elle aussi. Elle a toujours très apprécié les caresses sur ses fesses. (Je le sais, j'en profite.)
- Ça doit bien faire une minute, non ? - Encore un petit peu. - Non. Ça fait au moins une minute.
- D'accord, je retire mes mains.

Trichant, je te plaque une main sur le milieu de tes fesses, fermement, et applique l'autre sur ton
pubis, tous mes doigts appliqués sur ton intimité.* Tu es trempée.
- À toi maintenant.
J'en profite (tu as les yeux bandés) pour lécher mes doigts. Tu sens la petite femme amoureuse excitée qui a envie de moi.
- Je te fais ce que je veux ?
- D'accord. (Tu fis encore entendre ton petit rire.) Tu y es, toi ? Parce que moi j'y suis.
Je sens que tu bouges. Tu n'es plus à genoux devant moi en tous cas. Le froissement des draps me renseigne, tu es allongée maintenant, mais où ?
Puis, je n'entends plus rien.

Soudain, je comprends car une sensation exquise m'enveloppe. Tu es, sûrement (!) allongée sur le dos entre mes cuisses ouvertes, tu m'as pris un testicule (je ne sais pas lequel, je suis dans un état !) dans ta bouche grande ouverte, le ressors, le lèches, le reprends. Je sens ta langue qui tourne autour.
Tu arrêtes ; j'attends. Puis tu prends, lèches, avales l'autre. C'est bon.
- C'est bon. Tu ne réponds pas. Tu es occupée. Je répète : - C'est très bon. Tu t'interromps un instant.
- Ça fait une bonne minute, non ? - Pas tout à fait.
- Ah bon. J'avais cru. - Bon, d'accord, je triche. Ça fait bien une minute. (Mais quelle minute ! Pensais je.)
Comme elle se redresse, je sens encore sa salive sur mes bourses. Délicieuse sensation de fraîcheur.
- Je te viole tout de suite ?
- C'est pas de jeu. Tu as une minute, pas plus. À toi.

Je reprends ma caresse où je l'avais laissé : une main sur la base de ses fesses, doigts enfoncés dans ton entrejambe, touchant ainsi le bout des doigts de l'autre main appliquée celle-ci sur ton pubis. (Dans cette position, je pourrais te soulever sans peine.)
Je bouge à peine mes doigts. Tu es encore plus trempée qu'il y a - un peu plus - d'une minute. À deux mains, je te prends toute ton intimité d'un coup. Il me reste ma bouche.
J'applique mes lèvres sur ton aréole gauche. Je ne cesse de bouger mes doigts. Je sors ma langue et lèche doucement la petite protubérance qui se dresse sous ma langue. J'accentue ma caresse, te lèche tout autour encore et encore, sans oublier un petit coup de langue de temps sur ton bouton.

Je passe à l'autre sein et lui fais de même. Je me redresse un peu, veux t'embrasser à pleine bouche, la loupe, atteint le menton, descend sur ton cou, lèche, remonte vers le lobe de ton oreille, le prend entre mes lèvres, le suce, le lèche, redescend vers ta poitrine, lèche à gauche, à droite, n'importe où, n'importe comment (il a dû s'écouler une bonne minute).

Tu gémis maintenant ? Je t'entends distinctement. J'accentue encore ma caresse sur ton entre jambe. Je sens tes mains chercher mon sexe, s'en emparer, l'agripper, le porter à ta bouche, l'aspirer, l'avaler... (Tu triches, là!) On s'écroule sur le lit, tête bêche ; je vais exploser, tu commences à jouir par à-coups, par des soupirs de plus en plus distincts.
Je ne sais plus où mettre mes mains, ma bouche, quoi faire... (On triche tous les deux !) Je m'extirpe d'entre tes cuisses, ça me coule partout, je lèche mes lèvres, mon bandeau est tout de guingois, tu as retiré le tien, tant mieux : Je veux te regarder jouir ; Je veux être mes yeux dans tes yeux ; je veux ../..

../../.. La suite, passionnante, ici...